Cromimi - Pierwsza darmowa wirtualna gra o zwierzętach online

Bonjour

Une mamy appelle ses deux amies un après midi pour boire le thé.
Pendant qu'elle prépare les tasses d'un joli service en porcelaine, un bruit bisard sortit du placard ou es ranger les sachets de thé. Pensant que le bois est la cause du bruit elle decide d'ignorer le bruit de grincement.
[2 heures pus tard]
La première amie arrive et sonne à la porte, paniquée et en larme.
Notre mamy ouvre alors la porte et lui demande le pourquoi de son retard:
- " Je suis aller chercher Mireille, pour l’emmener, sa voiture étant chez le garagiste et .....
- Attent, coupe la mamy, regarde c'est pourtant bien sa voiture qui arrive dans la cour
- non ! non ! c'est impossible ! Je suis allée chez elle, sa porte n’était pas fermer quand je suis entrée, au moment même ou j'ai ouvert la porte, du sang couler des mur, il y en avait partout ! Les murs les fenêtre, le parquet et son tapis, jusque dans l'escalier ou on voyais clairement un long filée de sang qui venait de l’étage ! J'ai vue son corp se vider de son sang ! j'ai vu ses bras et ses jambes suspendu par des barbeller a sa tringle de rideau, c’était horrible j'ai même pas réussi a appeller la police sil te plait appelle les j'ai tellement peur ! Je n'ai pas vu sa téte elle était nul part !!!

- je vais chercher mon cellulaire dans la cuisine et je vais te prendre un thé dans le placard tu est en etat de choque ! reste calme allonge toi dans le canapé je te prepare la boisson et j'apelle immédiatement la police, explique notre mamy"

Mamy prend alors le telephone, compose le numéro, en rassurant toujours son amie et ouvre le placard.

Elle se mis a hurler, la tête de son amie Mireille se trouver alors dans son placard, des trace de dents était visible a l’intérieur du placard. En se dirigeant en pleurant voir son amie, elle la découvre alors pendu, et une inscription sur le mur "A ton tour maman! tu va payer"

Les enquêteur arrivèrent plus tard chez Mireille puis chez mamy et retrouva le corps pendu, le corps de la mamy, les bras et les jambes pendu a sa fenêtre.
Plus tard, ils découvrit que la fille de mamy avait était tuée et violée chez elle a l'age de 13 ans pendant que sa mère faisait ses courses avec ses deux amies sans ce douté de se qui se passer. Sa fille, a du en vouloir a sa mère de l'avoir laisser se jour la pour faire les courses avec ses deux amies et a voulu  se venger.

Cependant, la fille n'a pas survécu a son agression alors qui est l'auteur de cette tuerie? La tête de la mamy n'a jamais était découverte. C'est meurtre on été commis a la date de mort de la jeune fille, et depuis, chaque année après se massacre, a cette même date, les maison de la mamy et de Mireille son retrouver rempli de sang et de larmes avec des inscriptions sur chaque mur telle que "est de ta faute!" "Tu va payer! Tu va vivre mon enfer!".

Quant à la voiture de Mireille, personne sait comment elle est arriver chez la mamy.

fanadeggg a écrit :

ma nouvelle histoire :p   :

Le tueur d’Angry Shade


Bonjour, Bonsoir, peut importe quel heure nous somme, toi qui lis ceci, ne vas jamais dans cette prison… jamais… . Je m’appelle Josh, j’ai 17 ans. Je ne peux rien dire d’autre.  Je vais vous raconter ce qu’il s’est passé.

Tout a commencé un jour banal, comme les autres. J’étais parti me balader au parc, comme d’habitude je passai par un petit chemin pas très connu par les gens de cette ville, c’était un raccourcit vers le parc. Mais un bruit étrange se fit entendre pas très loin… me disant que ce n’était qu’un chat, je passai mon chemin. Le bruit recommença, mais cette fois il était plus fort, jusqu'à m’en casser les oreilles. Je décidât alors d’aller voir, mais rien, rien appart un étrange chemin que je n’avais jamais remarquer. Rien d’étonnant, il était dissimulé par les herbes hautes.

  Le sol était fait de gravier, il y avait un panneau en bois qui indiquait un chemin, mais il n’y avait rien écrit. Par curiosité, je décidât d’aller voir ce qu’il y avait au bout de ce chemin étrange. C’était long, très long, j’avais beau marcher 10 minutes sur ce foutu chemin, je n’en voyais pas la fin. Au moment où j’allais abandonner, je pus voir un grand immeuble dissimulé derrière les arbres. Cela me redonnât courage et je continuât de marcher.

J’arrivât enfin devant ce fameux « immeuble », sauf que se n’en était pas un, c’était une prison sous le nom de « Angry Shade » ce qui voulait dire « ombre en colère », drôle de nom pour une prison, et  elle avait l’air d’être abandonnée. Je regardais ma montre, il était déjà 20h00. Je me dépêchât de retourner cher moi avant que ma mère ne rentre, sinon elle m’aurait trucidé. Une fois rentré, j’appelai quelque uns de mes amis pour leur parler de cette prison.

-Allo
-Allo Max ? C’est Josh, ça va ?
-Ouais et toi ?
-Ouais, tu ne devineras jamais ce que j’ai vu tout à l’heure !
- T’a vus quoi ?
-Tu vois le chemin que je prend a chaque fois pour aller au parc ?
-Ouais, ensuite ?
- Et ben j’ai trouvé un chemin pas très loin de celui-là qui mène à une prison abandonnée.
-Cool, imagine si elle était hantée ?
-Tu regarde trop de films d’horreur.
-C’est sa, fout toi de moi, mais es-ce que t’a des preuves qu’elle n’est pas hantée ?
-Et bien… non
-Sa te dirait une petite excursion en groupe là bas, la nuit ?
-Pourquoi pas, et puis comme ça je pourrais prouver que tu a tord !
-C’est ce qu’on va voir.
-Bon… au lieu de se disputer, il faudrait trouver une date non ?
- Sa te dirait vendredi soir a 00h00 ?
-Ok, je vais prévenir des amis.
-Ok, pour l’instant moi je vais faire mes petites recherches sur cette prison, comment elle s’appelle ?
-Angry Shade
-Ok, bah, je te rappellerais quand j’aurai trouvé des réponses ok ?
-Ok salut.


Pendant que Max faisait des recherches, j’appelai plusieurs amis pour leur demander s’ils voulaient venir, seulement trois on acceptés. Juste après, Max m’appela.
-Allo ?
-Ouais, c’est Max, j’ai finit mes recherches et sa dit que : cette prison a été construite en 1989 et a été abandonnée il y a 2 ans à cause d’un incendie provoqué par un des prisonnier, on dit aussi que celui-ci était schizophrène et avait volontairement brulé la prison disant que c’était pour sortir les prisonniers de cet enfer. Et aussi que le gouvernement a voulut étouffer cette histoire pour ne pas affoler les alentours, je ne sais pas vraiment pourquoi.
-Et ben…  on peut dire que c’était un malade ce mec !
-Mais pire, sinon t’a réussit à inviter qui ?
- J’ai pu en inviter que trois, Sofiane, Sandra et ma petite amie, Anaïs.
-Ok, tu leur à dit la date, l’heure  et un point de rendez vous?
-Ouais, on va tous se retrouver devant le parc et je leur ai dit aussi de ramener des lampes torches.
-Ok, bon... je te laisse, salut
!
Une fois le jour venu, on a tous fait le mur pour y aller, il faut dire que je n’ai pas été très discret, mais j’ai quand même réussit a ne pas me faire remarquer par ma mère. Je me mis en route, lampe torche en main, vers le parc. Ils étaient tous là, prêt à partir.
-Venez, je vais vous montrer où est ce chemin.

Et ils me suivirent tous vers ce fameux chemin. Je leur ai dit qu’il fallait marcher tout droit mais que le chemin allait être très long. Je pris Anaïs dans mes bras, histoire de la réconforter. Une fois arriver devant la prison, je m’avançais vers l’immense portail et l’ouvrit, son grincement nous cassa tous les oreilles. Nous sommes entrés à l’intérieur de la cour, rien d’anormal pour l’instant. Je m’avançais alors vers la porte d’entrée, elle était immense, son grincement était pourtant moins forte que celui du portail. En face de nous se trouvait une petite sale avec un bureau, il y avait un tas de feuille brulée sur le sol et du sang sur les murs… c’est a ce moment là que je me dis que ce n’était pas une bonne idée car... le sang était encore frais… . Je pris une grande inspiration et continuât d’avancer.

J’ouvris la porte qui était à coter du bureau, elle menait à un petit couloir, sur le sol… des cendres, des feuilles, du sang… . Je leur ai dis de rester groupés pour ne pas se perdre. Au bout du couloir se trouvait un escalier, il était très étroit, et sur le mur il y avait écrit avec du sang : Angry Shade. A mesure que l’on montait l’escalier, il faisait de plus en plus froid, de plus en plus sombre et il y avait de plus en plus de sang sur les murs. On arrivât au 2eme étage, la température était glaciale. Il y avait plusieurs cellules, a l’intérieur résidait les cadavres brulés des prisonniers, c’était équerrant. Sofiane n’a pas pu s’empêcher  de vomir a la vue de ces cadavres.

Soudain, on entendit un rire à en glacer le sang, on étaient tous pétrifiés.
-Max, arrête ce n’est pas marrant ! a dit Sandra
-Mais ce n’est pas moi je vous le jure !
Je repris mon sang froid et continuât d’avancer avec les autres, soudain, quelque chose sur le sol attirât mon intension, c’était une photo. Vu l’état dans le quel elle était, elle devait avoir été prise il y a cinq ans. Sur cette photo il y avait un homme en uniforme de prisonnier et deux policiers à coter de lui. Je décidât de reposer la photo où je l’ai trouvée et continuât d’avancer. Soudain ce rire recommença a retentir, il me glaça le sang, j’eu un malaise profond, et je pense que je n’étais pas le seul. Anaïs était glacée, je pouvais sentir son cœur battre la chamade. Je regardât Sofiane et Max, il étaient tous pâle. Sandra commençât a pleurer un peu et dit :

-Max arrête je t’en prie !! Ce n’est pas marrant !!
-Mais je t’ai dit que ce n’était pas moi !!
-Mais si ce n’est pas toi c’est qui ?!
-J’en sais rien !!
Je leur ai dit de se calmer et d’arrêter de crier. Plus nous avançons dans ce couloir humide, plus il faisait froid, j’étais glacé, j’avais peur, je voulais que tout ça se termine. Je voulais que tout ça ne soit qu’un rêve, car je savais que l’on n’était pas seul ici… Je commençais a vraiment m’inquiéter. Au loin dans le couloir, je vis quelque chose briller sur le sol, c’était orange. Je m’étais mis en direction de cet objet, c’était un cyalume, vous savez ces petites barres fluorescentes que l’on plie en deux pour qu’elle s’allume. Je l’eu pris avec moi au cas où.
-J’ai peur, me chuchotât Anaïs.
-Ne t’inquiète pas je suis la, lui ai-je répondu.

On arrivât enfin au bout du couloir, il y avait un autre escalier, encore plus sombre que l’autre, et surtout plus effrayant. Une fois arrivés au 3eme étage, je vis une lampe torche sur le sol, elle était allumée et éclairait le mur, sur celui-ci il y avait écrit « vous allez mourir ». Ces mots nous glacèrent le sang.
-Cette fois s’en ai de trop, je rentre cher moi ! a dit Sofiane
-Non attend reviens !! a crié Sandra.

A en voir son visage, elle n’oserait pas le suivre. Mais c’est a partir de ce moment la que tout a dégénéré… Sofiane était parti, mais sa allait être pour de bon… Un rire retentit dans le couloir, c’était le même rire que tout à l’heure, mais il était beaucoup plus fort… On entendit Sofiane crier, puis plus rien… le silence total. Nous nous mirent en direction du cri et la… nous virent Sofiane par terre, éventré, couvert de sang… . Sandra qui était derrière nous tous commençât a pleurer. Soudainement, elle criât puis disparaisse dans le noir, quelque chose, ou plutôt quelqu’un l’avait tirée par les pieds. Anaïs était affolée, elle criait, elle pleurait, elle aussi voulait que tout ça se finisse.

-Sandra !! Sandra !! T’u m’entend ?!! Répond !! Répond je t’en prie !! cria Max de toutes ses forces.
Puis il courra vers Sandra, lampe torche en main. On l’entendit crier puis plus rien… nous avons cru qu’il était mort mais non, il revenu  vers nous mais avec une énorme griffure sur le visage, qui semblerai avoir été faite avec un couteau. Il s’approchât de nous, affolé, le visage en sang.
-Max ! Qui t’a fait sa ?! A répliquée Anaïs
-J’ai pas le temps d’expliquer ! Courez !!

Alors nous fîmes ce qu’il a dit et nous avons essayé  de trouver l’escalier qui mène au 4eme étage. Chose perdue car celui qui avait tué Sandra et Sofiane, était devant nous… Je pouvais voir clairement grâce à ma lampe torche son visage, il était effrayant, à moitié brulé. Son sourire me glaça le sang, ses vêtements étaient tachés de sang. Nous fîmes demi-tour en courant, j’eu étaient nos lampes pour qu’il ne puisse pas nous voir mais le cyalume luisait dans ma poche. C’est alors que j’entendis encore son rire, puis le cri d’Anaïs.
-Anaïs !! Anaïs répond !!

J’entendis un léger gémissement puis plus rien, c’était celui d’Anaïs, j’en suis sur. Je courais vers le gémissement mais Max, ou du moins ce qu’il restait de lui, me rattrapât  par l’épaule, j’allumai ma torche pour être sûr que c’est bien lui, et la, vision d’horreur, un de ses bras a été coupé, il était a moitié dévisagé par des griffures faites avec un couteau. Je criât a la vue de cette vision et courra le plus vite possible vers le prochain escalier. Je sentais que Max me suivait, il n’était plus lui-même, il disait des choses bizarre comme : «  n’ai pas peur, viens t’amuser avec moi ! ».

Une fois avoir trouvé l’escalier, je montât  au 4ème étage, laissant Max derrière moi, seul dans l’obscurité. Sa me faisait mal au cœur mais j’étais obligé, il n’était plus lui-même. J’avançât donc dans ce couloir obscure, ma lampe torche commençât a manquer d’énergie, ce n’est pas dans un moment pareille que t’a envie qu’il te lâche. J’avançât dans ce couloir sombre, puis j’entendit les gémissements d’Anaïs, ce qui me redonna courage pour avancer. J’entendis encore ce rire, puis j’entendis Anaïs hurler à l’aide. Je me dépêchât d’aller au bout de ce couloir, mais je m’arrêtai net en voyant une lumière s’allumer au bout. Je me cachât derrière un des bureaux qui trainait dans le couloir et me rapprochât discrètement vers la lumière. C’était horrible, Anaïs était accrochée au mur, cet homme se rapprochait d’elle, il avait un petit sac remplit de couteau, j’imaginais déjà le pire.

Il prit un des couteaux et le planta dans la main d’Anaïs, elle criait à s’en casser la voix, et moi j’étais là, impuissant, je ne pouvais que regarder… . Il prit un autre couteau et transperçât l’autre main d’Anaïs, je n’en pouvais plus, je ne voulais plus regarder ça. Je me cachât derrière le bureau, en espérant que tout ça ne soit qu’un rêve. Je n’en pouvais plus de l’entendre crier sans rien faire. J’entendis son dernier cris, puis plus rien, j’eu le courage de relever la tête et je ne pus m’empêcher de lâcher un cri muet. Elle était éventrée, du sang coulait partout, on pouvait voir ses organes… .

D’un coup le tueur s’arrêta de bouger, il retourna doucement la tête vers moi en souriant, un sourire glaçant. Je pouvais l’entendre dire « fuis ! ». Je fis ce qu’il dit et pris mes jambes a mon cou et me mis en direction de l’escalier vers le 3eme étage.
Je descendis tous les autres, je pouvais sentir qu’il me suivait. Une fois arrivé devant la sortie, j’ouvris la porte, le grillage puis courut de toutes mes forces en direction de ma maison. Maintenant, je sais qu’il me cherche, je le voit partout ou je vais, j’entend son rire, je voie sa silhouette dans l’ombre… je sais  qu’il ne me lâchera pas jusqu’au jour ou je mourrais, peut-être de sa main, ou peut-être pas…

Fanadeggg

Ma pauvre , je suis désolé pour toi .
Sa fait peur se genre de chose

C'est l'histoire de deux petites fille Lisa et Kathryn.
Les parents des fillettes sont partis travailler, il est 23H30. Les deux petites regardent la télé quand Lisa dit à Kathryn :

-" Il faut que j'aille au toillette , mais j'ai trop peur d'y aller toute seule, accompagne moi s'il te plait"

Kathryn l'accompagne donc au toilettes et, pour la rassurer, lui chante la chanson balle: "Balle, petite balle, rebondi" . Lisa rentre alors dans les toilettes et sa sœur commence à chanter .

-" Balle, petite balle, rebondit. Balle petite balle rebondit [...]".

Au bout d'un moment , la voix commence à devenir plus grave, comme celle d'un homme. Un bruit sourd accompagne la voix qui chanter de plus en plus grave et terrifiante.

Kathryn, ne reconnaissant pas l'objet qui pourrait faire un tel bruit, semblant rebondir sur le sol, et inquiète ouvre la porte des toilettes. Elle pousse un cri de frayeur lorsque quelle voit un homme, un homme au sourire sadique. Avant de se faire tranché la gorge, elle eut juste le tempe de voir qu'il faisait rebondir la tête de sa soeur sur le plancher.

Les parents rentre du travail, il est 6h30. Le père va dans la chambre des fillettes et vois la têtes d'une des deux fillettes depasser de son lit. Il se penche alors pour les embrasser. Il embrasse la première et lui caresse les cheveux. Il se redresse afin d'embrasser la deuxième dans l'autre lit. Au moment où ses lèvres aller touché se qu'il penser être le vidage de la deuxième, sa femme se met a hurler en découvrant le cadavre de ses filles pendu par les pied, décapité, et sans bras. Elle découvrit entendu un bruit d'un rebondissement, se qui la fait ensuite découvrir le psychopathe faisant rebondir la tete de sa petite fille en chantonnant:

-"Tete, petite tete rebondis! Fille, petite fille rebondis!" avant d'enchainer "femme, petite femme, va mourir!"

Le père, en se relevant, bouscula la tete de son enfant se qui la fait rouler et tomber par terre avant de se nicher entre se pied. Il hurla a son tour avant de rejoindre sa femme

Elle était assise sur un fauteuil, ligoter, un bandeau sur la bouche. Le tueur se trouver la, derrière elle et lui trancha la tete. La tete tomba, le mari la suivi du regard en pleurant et voulu se battre avec l'assassin. A ce moment la, une nouvelle tète tomba.

La police est arriver, les cadavres des fillettes, et des parents ont été retrouver, avec une tête supplémentaire appartenant a un jeune garçon d'environ 10 ans d'une tuerie precedente, cacher dans le frigo. Celle du père était introuvable dans le domicile.

Il s'agit d'un tueur en série, déposant la tête de sa dernière victime chez la prochaine. Les victimes suivantes, découvrir la tête du père des petites qui server d'abat jour à la lampe de chevet d'une petite mamy. La tête de celle ci n'est a ce jour, pas retouver. Le tuer non plus. Soyez prudent(e)s et ne rester pas seul(e) chez vous.

-"Balle, petite balle, rebondis!!!"

Bixx a écrit :

Voici une histoire que j'ai écrite moi-même

Angleterre. 15 juillet 1962. C'était en une chaude journée, que tout cela s'est produit. Je suis maintenant une fugitive, à mon grand regret. Je suis la si ''populaire'' de la région, Malia Dikinson. Cela fait une semaine que je cours les rues, à la recherche de nourriture, de petits marchés d'extérieur et un hôtel de fortune pour me payer quelques nuits avec l'argent qu'il me reste. Cela fait aussi une semaine que j'ai commis... l'irréparable. En fait, sadique comme je peux l'être quelques fois, au début je trouvais qu'accomplir cela était  bien malgré le temps que je pouvais y mettre pour y parvenir, car la vengeance est un plat qui se mange froid. Mais plus j'avançais dans les préparatifs de cette fameuse vengeance, plus je doutais de moi et de ce que j'allais faire. Je réalisais que je serai vue comme une retardée dans la tête, une folle sans cœur. Mais ce n'est pas ce que je suis. Je pensais que même si je commettais cela, je pourrais garder la raison. Mais non. Je n'ai pas réussi à la conserver. Je crois bien que oui, moi, Malia Dikinson, n'ai pas réussi à poursuivre son chemin et à ne pas devenir folle. Vers la fin de toute ma préparation de ces représailles, j'ai compris que je ne pourrai pas réparer mon futur geste. Mais je l'ai quand même fait. Et je ne regrette pas vraiment de leur avoir fait ça. Car de toute façon engager ces personnes m'avaient coûté une petite fortune et j'ai travaillé fort pour créer tout ce coup monté. La mort peut se mériter.

20 ans en arrière. Angleterre, 1942. J'avais 9 ans. Toute ma famille était à la maison, et moi aussi. J'avais deux grands frères et une grande sœur. Ma mère disait que c'était un cas rare d'avoir ''si peu'' d'enfants, à l'époque. C'est moi, même si j'étais la plus jeune, qui devait ramasser le blé, nourrir les vaches, les poules, récolter le maïs. Oui, ça fait beaucoup pour une fille de mon âge. On vivait dans une ferme et je mes parents m'interdisaient d'aller à l'école. Mais, aussi curieux soit-il, mes frères et sœur, eux, ils avaient le droit. Eux, ils n'avaient pas de tâche à faire sauf, seulement faire les repas, mettre la table et abattre les cochons. Mes parents faisaient les rues pour trouver de quoi à manger. Eh oui. Les deux adultes avaient simplement ça comme tâche. Moi je faisais la majorité des choses à faire, je ne pouvais pas aller à l'école. Ma mère disait que c'était pour mon bien. La journée où je les ai détesté, où je m'était jurée de me venger était, eh bien, cette journée... :
Il était 4h30 du matin.

-Malia, lève-toi, je te pris. Va accomplir tes tâches, ne t'en déplaise.
-Mais, les autres, vous ne les réveillez pas?
-Qui, les autres?
-Eh bien, mais frères et Yvette, Mère.
-Ne me manque pas de respect! Je t'interdis de te foutre de moi.

Oh c'est vrai. J'avais oublié que je n'avais pas le droit de demander que mes frères et ma sœur se lève à la même heure que moi. Je ne pouvais pas seulement proposer qu'ils fassent au moins autant de tâches que moi. En fait je n'avais juste pas le droit de parler d'eux. Pourquoi? J'espérais le savoir: je me leva, même si je ne voulais pas. J'entendais les grincements et les frottements de mon lit de paille. Encore une fois, j'étais un cas isolé dans la maison qui avait un lit de si mauvaise qualité.

-Très bien.

Je me suis rendue vers la salle de bain, il y avait un seau d'eau datant d'hier. Je m'y rendait pour me laver le visage avant de commencer mes tortures de tâche.

-Mais?! Que fais-tu?
-Je compte me laver le visage pour me réveiller. Je vais directement faire ce que vous m'av...
-Je m'en fiche! Je suis ta mère et je t'ordonne d'aller faire tes tâches! Tu veux qu'on meurt de faim et de soif après tout notre avancement dans la ferme?
-Bien sûr que non, Mère...
-ALORS NE TARDE PAS.

Après ça, j'ai eu l'idée idiote d'essayer de la contredire.

-Mais, j'allais...

Puis elle m'a giflée. Je retenais mes larmes. Je voulais seulement m'enfuir de mon indigne mère.

-Ne contredis pas ta mère! Allez, vas-y, je te pris.

À la suite de ça, j'ai passé toute la journée à travaillé et à me faire mal avec tout ces trucs à transporter. Lorsque j'eu terminé, il était environ six heures du soir. Gilbert, Serge et Yvette étaient revenus de l'école.

-Malia va me chercher un verre d'eau. M’obligea ma sœur.
-Je n'es pas envie.
-Quoi?!

Elle a foncé vers moi pour me frapper à la tête. J'ai fais pareil et elle l'a très mal pris: elle l'a dit à mon père. Il m'a énormément frappé seulement parce que je n'avais pas voulu donner un verre d'eau à Yvette. Je pleurais et je me suis enfuie dans le grenier, là où il y avait ma chambre.

-Malia, toute la famille sortons se promener au village. Mais vu ton comportement inacceptable, tu ne viens pas. Me cria ma mère d'en-bas.

Je n'ai rien répondu. Je suis restée sur mon lit de paille. Quand j'ai entendu claqué la porte, j'ai couru à la cuisine et je me suis pris quelques pommes, et d'autres fruits. Ainsi que de la viande crue. Je voulais m'enfuir. Sortir de cet enfer. Je me suis rendue dans la chambre de ma mère et de mon père. Je savais que je n'avais strictement pas le droit d'y aller, mais je voulais faire quelque chose de mesquin envers mes parents avant de partir. Avant d'entrer, j'ai hésité. Bon. Allez. Vas-y, de toute façon ils ne sont pas là. J'ai pensé. Je suis entrée. Je cherchais quelque chose dans les affaires de ma mère. Je ne sais pas quoi. Quelque chose qui pourrait se retourner contre elle. Ou contre mon père. J'ai finalement trouvé son journal. Elle y écrivait à la plume. Je suis remontée jusqu'au début de son journal et elle le tient depuis une dizaine d'année. J'ai remarqué qu'elle avait écrit à la date de mon anniversaire.

31 octobre 1933
Je viens d'accoucher. Malheureusement. Je ne voulais pas de deuxième fille. Mais je n'avais pas assez d'argent pour me débarrasser du bébé dans mon ventre. Je ne sais pas quoi faire d'elle. Mon mari m'a proposé de lui imposer tout le travail, puisque de toute façon on ne l'aime pas. C'est une bonne idée. Je crois que c'est ce que je vais faire. J'ai averti mes fils et Yvette de ne pas s'attacher à elle. Ils n'osent pas me contredire. J'aime mes trois enfants plus que tout, mais je ne sais pas, je n'apprécie pas la nouvelle venue. Je n'ai pas pleuré de joie quand elle est née et je n'ai pas non plus pleuré quand j'ai su qu'elle mourrait vers 35 ans à cause d'une maladie génétique rare. Je ne lui ai même pas encore trouvé de nom.

Je ne peux pas me débarrasser d'elle. Je passerais pour une folle et une sans-cœur dans tout le village. Je ne sais pas trop quoi faire d'elle, sauf toutes les tâches dures du quotidien. C’est déjà dur de lui faire une chambre à coucher, mais cela coûte cher donc je dois faire avec ce que j’ai. Elle ne doit pas se douter qu’on ne l’aime pas, au risque qu’elle nous dénonce, moi et mon mari.

À suivre, je continuerai cette histoire dans quelques temps en espérant que cela vous a plu jusque-là. /!\ NON CE N’EST PAS UNE FANFIC /!\ , ce n’est qu’une longue histoire

loreann a écrit :

fanadeggg a écrit :

ma nouvelle histoire :p   :

Le tueur d’Angry Shade


Bonjour, Bonsoir, peut importe quel heure nous somme, toi qui lis ceci, ne vas jamais dans cette prison… jamais… . Je m’appelle Josh, j’ai 17 ans. Je ne peux rien dire d’autre.  Je vais vous raconter ce qu’il s’est passé.

Tout a commencé un jour banal, comme les autres. J’étais parti me balader au parc, comme d’habitude je passai par un petit chemin pas très connu par les gens de cette ville, c’était un raccourcit vers le parc. Mais un bruit étrange se fit entendre pas très loin… me disant que ce n’était qu’un chat, je passai mon chemin. Le bruit recommença, mais cette fois il était plus fort, jusqu'à m’en casser les oreilles. Je décidât alors d’aller voir, mais rien, rien appart un étrange chemin que je n’avais jamais remarquer. Rien d’étonnant, il était dissimulé par les herbes hautes.

  Le sol était fait de gravier, il y avait un panneau en bois qui indiquait un chemin, mais il n’y avait rien écrit. Par curiosité, je décidât d’aller voir ce qu’il y avait au bout de ce chemin étrange. C’était long, très long, j’avais beau marcher 10 minutes sur ce foutu chemin, je n’en voyais pas la fin. Au moment où j’allais abandonner, je pus voir un grand immeuble dissimulé derrière les arbres. Cela me redonnât courage et je continuât de marcher.

J’arrivât enfin devant ce fameux « immeuble », sauf que se n’en était pas un, c’était une prison sous le nom de « Angry Shade » ce qui voulait dire « ombre en colère », drôle de nom pour une prison, et  elle avait l’air d’être abandonnée. Je regardais ma montre, il était déjà 20h00. Je me dépêchât de retourner cher moi avant que ma mère ne rentre, sinon elle m’aurait trucidé. Une fois rentré, j’appelai quelque uns de mes amis pour leur parler de cette prison.

-Allo
-Allo Max ? C’est Josh, ça va ?
-Ouais et toi ?
-Ouais, tu ne devineras jamais ce que j’ai vu tout à l’heure !
- T’a vus quoi ?
-Tu vois le chemin que je prend a chaque fois pour aller au parc ?
-Ouais, ensuite ?
- Et ben j’ai trouvé un chemin pas très loin de celui-là qui mène à une prison abandonnée.
-Cool, imagine si elle était hantée ?
-Tu regarde trop de films d’horreur.
-C’est sa, fout toi de moi, mais es-ce que t’a des preuves qu’elle n’est pas hantée ?
-Et bien… non
-Sa te dirait une petite excursion en groupe là bas, la nuit ?
-Pourquoi pas, et puis comme ça je pourrais prouver que tu a tord !
-C’est ce qu’on va voir.
-Bon… au lieu de se disputer, il faudrait trouver une date non ?
- Sa te dirait vendredi soir a 00h00 ?
-Ok, je vais prévenir des amis.
-Ok, pour l’instant moi je vais faire mes petites recherches sur cette prison, comment elle s’appelle ?
-Angry Shade
-Ok, bah, je te rappellerais quand j’aurai trouvé des réponses ok ?
-Ok salut.


Pendant que Max faisait des recherches, j’appelai plusieurs amis pour leur demander s’ils voulaient venir, seulement trois on acceptés. Juste après, Max m’appela.
-Allo ?
-Ouais, c’est Max, j’ai finit mes recherches et sa dit que : cette prison a été construite en 1989 et a été abandonnée il y a 2 ans à cause d’un incendie provoqué par un des prisonnier, on dit aussi que celui-ci était schizophrène et avait volontairement brulé la prison disant que c’était pour sortir les prisonniers de cet enfer. Et aussi que le gouvernement a voulut étouffer cette histoire pour ne pas affoler les alentours, je ne sais pas vraiment pourquoi.
-Et ben…  on peut dire que c’était un malade ce mec !
-Mais pire, sinon t’a réussit à inviter qui ?
- J’ai pu en inviter que trois, Sofiane, Sandra et ma petite amie, Anaïs.
-Ok, tu leur à dit la date, l’heure  et un point de rendez vous?
-Ouais, on va tous se retrouver devant le parc et je leur ai dit aussi de ramener des lampes torches.
-Ok, bon... je te laisse, salut
!
Une fois le jour venu, on a tous fait le mur pour y aller, il faut dire que je n’ai pas été très discret, mais j’ai quand même réussit a ne pas me faire remarquer par ma mère. Je me mis en route, lampe torche en main, vers le parc. Ils étaient tous là, prêt à partir.
-Venez, je vais vous montrer où est ce chemin.

Et ils me suivirent tous vers ce fameux chemin. Je leur ai dit qu’il fallait marcher tout droit mais que le chemin allait être très long. Je pris Anaïs dans mes bras, histoire de la réconforter. Une fois arriver devant la prison, je m’avançais vers l’immense portail et l’ouvrit, son grincement nous cassa tous les oreilles. Nous sommes entrés à l’intérieur de la cour, rien d’anormal pour l’instant. Je m’avançais alors vers la porte d’entrée, elle était immense, son grincement était pourtant moins forte que celui du portail. En face de nous se trouvait une petite sale avec un bureau, il y avait un tas de feuille brulée sur le sol et du sang sur les murs… c’est a ce moment là que je me dis que ce n’était pas une bonne idée car... le sang était encore frais… . Je pris une grande inspiration et continuât d’avancer.

J’ouvris la porte qui était à coter du bureau, elle menait à un petit couloir, sur le sol… des cendres, des feuilles, du sang… . Je leur ai dis de rester groupés pour ne pas se perdre. Au bout du couloir se trouvait un escalier, il était très étroit, et sur le mur il y avait écrit avec du sang : Angry Shade. A mesure que l’on montait l’escalier, il faisait de plus en plus froid, de plus en plus sombre et il y avait de plus en plus de sang sur les murs. On arrivât au 2eme étage, la température était glaciale. Il y avait plusieurs cellules, a l’intérieur résidait les cadavres brulés des prisonniers, c’était équerrant. Sofiane n’a pas pu s’empêcher  de vomir a la vue de ces cadavres.

Soudain, on entendit un rire à en glacer le sang, on étaient tous pétrifiés.
-Max, arrête ce n’est pas marrant ! a dit Sandra
-Mais ce n’est pas moi je vous le jure !
Je repris mon sang froid et continuât d’avancer avec les autres, soudain, quelque chose sur le sol attirât mon intension, c’était une photo. Vu l’état dans le quel elle était, elle devait avoir été prise il y a cinq ans. Sur cette photo il y avait un homme en uniforme de prisonnier et deux policiers à coter de lui. Je décidât de reposer la photo où je l’ai trouvée et continuât d’avancer. Soudain ce rire recommença a retentir, il me glaça le sang, j’eu un malaise profond, et je pense que je n’étais pas le seul. Anaïs était glacée, je pouvais sentir son cœur battre la chamade. Je regardât Sofiane et Max, il étaient tous pâle. Sandra commençât a pleurer un peu et dit :

-Max arrête je t’en prie !! Ce n’est pas marrant !!
-Mais je t’ai dit que ce n’était pas moi !!
-Mais si ce n’est pas toi c’est qui ?!
-J’en sais rien !!
Je leur ai dit de se calmer et d’arrêter de crier. Plus nous avançons dans ce couloir humide, plus il faisait froid, j’étais glacé, j’avais peur, je voulais que tout ça se termine. Je voulais que tout ça ne soit qu’un rêve, car je savais que l’on n’était pas seul ici… Je commençais a vraiment m’inquiéter. Au loin dans le couloir, je vis quelque chose briller sur le sol, c’était orange. Je m’étais mis en direction de cet objet, c’était un cyalume, vous savez ces petites barres fluorescentes que l’on plie en deux pour qu’elle s’allume. Je l’eu pris avec moi au cas où.
-J’ai peur, me chuchotât Anaïs.
-Ne t’inquiète pas je suis la, lui ai-je répondu.

On arrivât enfin au bout du couloir, il y avait un autre escalier, encore plus sombre que l’autre, et surtout plus effrayant. Une fois arrivés au 3eme étage, je vis une lampe torche sur le sol, elle était allumée et éclairait le mur, sur celui-ci il y avait écrit « vous allez mourir ». Ces mots nous glacèrent le sang.
-Cette fois s’en ai de trop, je rentre cher moi ! a dit Sofiane
-Non attend reviens !! a crié Sandra.

A en voir son visage, elle n’oserait pas le suivre. Mais c’est a partir de ce moment la que tout a dégénéré… Sofiane était parti, mais sa allait être pour de bon… Un rire retentit dans le couloir, c’était le même rire que tout à l’heure, mais il était beaucoup plus fort… On entendit Sofiane crier, puis plus rien… le silence total. Nous nous mirent en direction du cri et la… nous virent Sofiane par terre, éventré, couvert de sang… . Sandra qui était derrière nous tous commençât a pleurer. Soudainement, elle criât puis disparaisse dans le noir, quelque chose, ou plutôt quelqu’un l’avait tirée par les pieds. Anaïs était affolée, elle criait, elle pleurait, elle aussi voulait que tout ça se finisse.

-Sandra !! Sandra !! T’u m’entend ?!! Répond !! Répond je t’en prie !! cria Max de toutes ses forces.
Puis il courra vers Sandra, lampe torche en main. On l’entendit crier puis plus rien… nous avons cru qu’il était mort mais non, il revenu  vers nous mais avec une énorme griffure sur le visage, qui semblerai avoir été faite avec un couteau. Il s’approchât de nous, affolé, le visage en sang.
-Max ! Qui t’a fait sa ?! A répliquée Anaïs
-J’ai pas le temps d’expliquer ! Courez !!

Alors nous fîmes ce qu’il a dit et nous avons essayé  de trouver l’escalier qui mène au 4eme étage. Chose perdue car celui qui avait tué Sandra et Sofiane, était devant nous… Je pouvais voir clairement grâce à ma lampe torche son visage, il était effrayant, à moitié brulé. Son sourire me glaça le sang, ses vêtements étaient tachés de sang. Nous fîmes demi-tour en courant, j’eu étaient nos lampes pour qu’il ne puisse pas nous voir mais le cyalume luisait dans ma poche. C’est alors que j’entendis encore son rire, puis le cri d’Anaïs.
-Anaïs !! Anaïs répond !!

J’entendis un léger gémissement puis plus rien, c’était celui d’Anaïs, j’en suis sur. Je courais vers le gémissement mais Max, ou du moins ce qu’il restait de lui, me rattrapât  par l’épaule, j’allumai ma torche pour être sûr que c’est bien lui, et la, vision d’horreur, un de ses bras a été coupé, il était a moitié dévisagé par des griffures faites avec un couteau. Je criât a la vue de cette vision et courra le plus vite possible vers le prochain escalier. Je sentais que Max me suivait, il n’était plus lui-même, il disait des choses bizarre comme : «  n’ai pas peur, viens t’amuser avec moi ! ».

Une fois avoir trouvé l’escalier, je montât  au 4ème étage, laissant Max derrière moi, seul dans l’obscurité. Sa me faisait mal au cœur mais j’étais obligé, il n’était plus lui-même. J’avançât donc dans ce couloir obscure, ma lampe torche commençât a manquer d’énergie, ce n’est pas dans un moment pareille que t’a envie qu’il te lâche. J’avançât dans ce couloir sombre, puis j’entendit les gémissements d’Anaïs, ce qui me redonna courage pour avancer. J’entendis encore ce rire, puis j’entendis Anaïs hurler à l’aide. Je me dépêchât d’aller au bout de ce couloir, mais je m’arrêtai net en voyant une lumière s’allumer au bout. Je me cachât derrière un des bureaux qui trainait dans le couloir et me rapprochât discrètement vers la lumière. C’était horrible, Anaïs était accrochée au mur, cet homme se rapprochait d’elle, il avait un petit sac remplit de couteau, j’imaginais déjà le pire.

Il prit un des couteaux et le planta dans la main d’Anaïs, elle criait à s’en casser la voix, et moi j’étais là, impuissant, je ne pouvais que regarder… . Il prit un autre couteau et transperçât l’autre main d’Anaïs, je n’en pouvais plus, je ne voulais plus regarder ça. Je me cachât derrière le bureau, en espérant que tout ça ne soit qu’un rêve. Je n’en pouvais plus de l’entendre crier sans rien faire. J’entendis son dernier cris, puis plus rien, j’eu le courage de relever la tête et je ne pus m’empêcher de lâcher un cri muet. Elle était éventrée, du sang coulait partout, on pouvait voir ses organes… .

D’un coup le tueur s’arrêta de bouger, il retourna doucement la tête vers moi en souriant, un sourire glaçant. Je pouvais l’entendre dire « fuis ! ». Je fis ce qu’il dit et pris mes jambes a mon cou et me mis en direction de l’escalier vers le 3eme étage.
Je descendis tous les autres, je pouvais sentir qu’il me suivait. Une fois arrivé devant la sortie, j’ouvris la porte, le grillage puis courut de toutes mes forces en direction de ma maison. Maintenant, je sais qu’il me cherche, je le voit partout ou je vais, j’entend son rire, je voie sa silhouette dans l’ombre… je sais  qu’il ne me lâchera pas jusqu’au jour ou je mourrais, peut-être de sa main, ou peut-être pas…

Fanadeggg

J'ai eu la peur de ma vie mon père est arriver sans bruit dans mon dos et ma dit d'une grosse voix "c'est moiiiiiiiii"

Aaaaaaaah 

moi j'ai inventé cette histoire :
c'est l'histoire d'une petite fille qui devait avoir 4 ans, elle avait une poupée en porcelaine, avec de grands yeux verts et des cheveux noirs.
cette poupée était donné de génération en génération, dès que la maman avait une fille, elle devait lui donnait.
sauf qu'un jour, une maman de cette famille n'est pas arrivée à avoir de fille, donc elle donna la poupée à une petite fille du quartier. elle n'avait pas respecter la tradition: de la garder et de la donner à la prochaine petite fille de cette famille qui naîtra. et la légende dit que si on la donne à quiconque d'autre, tous les ancêtres qui ont eu cette poupée la hanterons.
la petite fille était très contente d'avoir une si jolie poupée, une nuit, alors qu'elle dormait, elle fut réveillé par des assiettes qui tombaient, les meubles qui basculaient, ect.. elle se leva et se dirigea vers la cuisine: tout était renversé, les tables, les meubles, la vaisselle, sauf une petite chaise, ou milieu de la pièce, ou était assise la poupée. la petite fille leva la tête et vu la maman qui lui avait donné la poupée pendue. elle voulu regarder la poupée mais celle ci avait disparut, elle se retourna et là, la poupée se jeta sur elle et elle se cassa sur elle, pleins de petits morceaux de porcelaines lui traversa les veines et elle mourut.

voilà, voilà. je veux des avis, c'est bien ? c'est créée uniquement par moi, merci de respecté et de ne pas me la voler. défis & demande d'amis accepté. désolé pour le manque de majuscule mais la touche ne marche plus !

bisous.

Moi je connaît l histoire de " Julie rend moi mon cœur et moi Foix .... "



Alors c l histoire su petite fille dont sa tante est morte et elle va fêter son anniversaire avec ses amies et elle va cher le boucher avec sa mère pour acheter de la viande mais il y'a n'a plus du coup elle se souvient que sa tante est morte et elle va chercher son cœur et son Foix . Avec ses amies elles le mange puis le soir elles vont au lit et Julie est dans un lot superposer ( elle est en haut ) et dans la nuit elle entend " Julie rend moi mon cœur et mon Foix je suis dans ton salon " Julie va voir sa mère et lui dit maman maman tubas entendu et sa mère lui dit non chéri je n ai rien entendu je dort va te recoucher .... Un peu plus tard dans la nuit elle " Julie rend moi mon cœur et mon Foix je suis dans tes escalier  " cette fois elle va voir ses amies ,elles lui répondent non c rien dodo je suis creuver et elle se rendort ..... Puis elle ré entend " Julie rend moi mon cœur et mon Foix je suis dans ton échelle " elle se dit c rien je dort je dort puis elle se rendort ...... Cette fois elle entend " Julie rend moi mon cœur et mon fois je suis ... LAAAAAAA !!!!!!!!! 



Avez vous aimer cette histoire ??

Quelle note metez vous sur 10 s'il vous plaît !!

Moi est ma amis on  partagent une chambre dans un campus. Vers 9 heures, je  me rend compte que je est  oublié de rapporter son livre à la bibliothèque qui ferme dans peu de temps. Elle dit à son amie qu'elle doit sortir pour ramener son livre et qu'elle sera de retour dans peu de temps. Elle demande à sa co-locataire de se joindre à elle mais celle-ci refuse sous prétexte qu'elle a des examens le lendemain matin et elle demande de fermer la lumière en sortant car elle a sommeil.Ferme la lumière et va à la bibliothèque située non loin de chez elle.

mon amie ma dis que si tu tourne trois fois sur toi même à minuit pile la dame blanche te tuera dont se qui ses déjà passer!!

()__()
(_'.'_)
(")_(")   Moi j'en ai écrite une c'est " Le puzzle " !

Dernière modification par cocotte57 (Le 01-08-2013 à 11h29)

emou9 a écrit :

Moi je connaît l histoire de " Julie rend moi mon cœur et moi Foix .... "



Alors c l histoire su petite fille dont sa tante est morte et elle va fêter son anniversaire avec ses amies et elle va cher le boucher avec sa mère pour acheter de la viande mais il y'a n'a plus du coup elle se souvient que sa tante est morte et elle va chercher son cœur et son Foix . Avec ses amies elles le mange puis le soir elles vont au lit et Julie est dans un lot superposer ( elle est en haut ) et dans la nuit elle entend " Julie rend moi mon cœur et mon Foix je suis dans ton salon " Julie va voir sa mère et lui dit maman maman tubas entendu et sa mère lui dit non chéri je n ai rien entendu je dort va te recoucher .... Un peu plus tard dans la nuit elle " Julie rend moi mon cœur et mon Foix je suis dans tes escalier  " cette fois elle va voir ses amies ,elles lui répondent non c rien dodo je suis creuver et elle se rendort ..... Puis elle ré entend " Julie rend moi mon cœur et mon Foix je suis dans ton échelle " elle se dit c rien je dort je dort puis elle se rendort ...... Cette fois elle entend " Julie rend moi mon cœur et mon fois je suis ... LAAAAAAA !!!!!!!!! 



Avez vous aimer cette histoire ??

Quelle note metez vous sur 10 s'il vous plaît !!

Dernière modification par lilouchien11 (Le 01-08-2013 à 13h39)

beau topic.

cocotte57 a écrit :

()__()
(_'.'_)
(")_(")   Moi j'en ai écrite une c'est " Le puzzle " !

C'est l'histoire de deux jumelles de 4 ans et demi, leurs parents étaient parti en soirée et elles avaient reçu l'ordre de se coucher à 21h...

21h passé les filles désobéissent et jouent aux cartes.
22h, les filles regardent la télévision dans leur chambre. Soudain, elles entendent un bruit : "Tchik Tchik Boum! Tchik Tchik Boum!"

La première fillette rassure sa soeur en disant que ce n'est que la machine à laver, elles continuent donc de regarder la télé... Mais le bruit persiste et devient de plus en plus intense : "Tchik Tchik BOUM ! Tchik Tchik BOUM !"

Le bruit s'arrêta, et les fillettes commencèrent à pa***r... Elles se prennent dans leur bras, pleurant d'horreur... Elles entendirent un nouveau bruit : "Tchiiiiing!" et un bruit continu s'approche de leur chambre : "Rolrolrolrolrolrol" ....

Les parents rentrent chez eux, lorsqu'ils entendent la télé, les Parents se précipitent vers la chambre des filles pour les engueuler. Il était minuit passé...

Lorsque les parents entrent dans la pièce, Les murs étaient tapis de sang. Une mare de sang recouvrait le sol de la chambre... Les parents levèrent les yeux et, horreur : La tête des deux fillettes étaient suspendus par les cheveux au plafond. Les parents poussèrent un cri horrible et le père se précipite vers le salon pour appeler la police tandis que la mère était en pleurs, mais quand il allait sortir de la chambre, il remarqua avec horreur que le corps des petites filles, transpercées de toutes parts, étaient clouées a la porte... Le père, de plus en plus affolé, Court dans le salon et compose le numéro d'urgence... Mais la ligne a été coupée... Il va donc apprendre la nouvelle à sa femme... Arrivé à ses côtés, le couple entend le même bruit " Tching ! Rolrolrolrolrol... " Le couple, pris de déséspoir se prirent eux aussi dans les bras, et subirent le même sort...


Un jour, la grand mère des fillettes vient rendre visite à leur petite fille préférée, elle sonna une fois, deux fois, trois fois, personne répondit... Elle fit donc le tour de la maison et remarqua qu'il y avait du rouge sur la fenêtre de la chambre des filles. Elle se précipita donc vers la porte de derrière qui était ouverte et monta les escaliers... par la porte entrouverte, elle put remarquer les têtes des filles pâle comme la mort, presque en décomposition, du sang séché qui tapit toute la pièce, les parents coupés en morceaux et disposés un peu partout dans la pièce, la grand mère entre dans la pièce, son portable à la main et glisse sur un foie... La Grand mère n'avait même pas la force d'appeler la police, elle lâche même son portable. Elle réalise qu'elle a perdu tout ce qu'elle avait de plus cher au monde... Elle a accumulé tellement de peine qu'elle eut une crise cardiaque et tomba des escaliers... La Grand mère est morte, elle aussi.

Sur la télévision des enfants, on peut entendre au JT :

Le Psychopate qui s'ést échappé de l'asile psychatrique est toujours en liberté. S'il vous plait, restez vigilants et verouillez vos portes. Ne laissez surtout pas vos enfants sans surveillance. Une equipe de police se lance à sa recherche.

La police n'a retrouvé la pauvre famille que deux mois après le meurtre, et le Psychopathe en question est toujours en liberté.

En vérité, le Psychopathe est en fauteuil roulant. Il est entré par la porte de derrière, et comme il pouvait pas monter les escaliers en fauteil roulant, il est monté avec l'appareil avec ses coudes. Il a roulé jusqu'au débarras, où il s'est saisi d'une scie, d'un tournevis, d'un martau, de clous et de sécateurs.

Et c'est ainsi qu'il a tué la famille qui n'avait pourtant rien demandé.
C'est sûrement la lumière venant de la chambre des enfants qui l'a attiré. Si elles avaient obéi et se seraient couchés à 21h comme leurs parents lui avait dit, tout le monde serait vivant.

Encore une autre !

Deux jeunes filles partagent une chambre dans un campus. Vers 9 heures, l'une d'entre elles se rend compte qu'elle a oublié de rapporter son livre à la bibliothèque qui ferme dans peu de temps. Elle dit à son amie qu'elle doit sortir pour ramener son livre et qu'elle sera de retour dans peu de temps. Elle demande à sa co-locataire de se joindre à elle mais celle-ci refuse sous prétexte qu'elle a des examens le lendemain matin et elle demande de fermer la lumière en sortant car elle a sommeil. La jeune fille ferme la lumière et va à la bibliothèque située non loin de chez elle.

Une fois arrivée, elle rencontre un de ses amis et se met à lui parler quelques minutes pour se rendre compte qu'elle a oublié son bouquin. Il est déjà tard et la bibliothèque fermera bientôt. Elle dit à son copain de l'attendre quelques minutes et va chercher son livre. En arrivant, elle se souvient que son amie est endormie. Comme elle sait exactement où est le livre, elle entre tranquillement et discrètement, elle le prend et ressort aussitôt de la chambre. Elle retourne ensuite à la bibliothèque, rend le livre et ressort pour prendre une bouchée avec le copain qu'elle avait laissé là quelques minutes plus tôt.

Quand elle retourne à sa chambre, elle y trouve une armée de policier et une ambulance. Un policier la saisit et la conduit dans la chambre, elle voit deux choses à ce moment qui seront gravées pour toujours dans sa mémoire : le matelas de sa "coloc" maculé de sang et quelque chose d'écrit avec un rouge à lèvres dans le miroir de son bureau : "Es-tu contente de ne pas avoir ouvert la lumière ?"

Bon, encore une courte que j'ai écris dans le quart d'heure...

Alison
Un soir d'été paraissant complètement anodin, une jeune femme prénommer Alison rentrait de son travail. Exceptionnellement, elle avait finis a 22H30, a cause de ses heures a rattraper.
Bref, Alison rentrait chez elle tranquillement. Elle habitait une maison individuelle dans une petite résidence pavillonnaire près de Bordeaux.
Lorsqu’elle entra dans sa demeure,  elle sentie une odeur nauséabonde, comme si quelque chose avait pourris. Elle se dirigea directement vers la cuisine mais ne vit rien de suspect. Elle pensa donc que ça n'était que les égouts. Bien évidemment, elle se trompait...
La jeune femme monta dans sa chambre sans même manger si faire sa toilette. Se qu'elle vit la tétanisa.
Son cher voisin, cloué au mur, éventrer mais gémissant encore.
-Jonathan ! Qu'est ce qu'il t'es arrivé ?
Un nouveau gémissement sortis de la bouche de l'ami d'Alison. Puis, un bruit sourd se fit entendre dans le couloir. Elle sortis donc de la chambre et essaya de percevoir une silhouette dans le corridor sombre. Elle tenta en vain d'allumer la lumière mais interrupteur avait été collé. Elle distingua tout de même une masse noir se déplaçant de manière inhumaine se diriger vers elle. Puis, un rire.
La jeune femme courus au premier étage, sortis un couteau a viande et sortis de la maison. Toutes le lumières étaient allumé. Soudain, elle se retrouva dans sa salle de bain. Elle avait été comme téléporter.
-Bonjour Alison, comment vas-tu ? Demanda une voix a l’intonation sadique.
Elle tourna la tête et vis une marionnette clown de taille humaine.
-Qui êtes vous ? Demanda-t-elle sous le choc.
-Billy. Tu te souviens de moi Alison ? Tu m'a abandonné il y a exactement 20 ans. Je t'aimais Alison, et je t'aime toujours. Je ne veux plus que tu me quitte. Je vais donc te greffer a moi.
Après ces explications, la marionnette sortis une scie et découpa Alison et la greffa a lui.
Depuis, on dit que cette créature traîne en France et qu'elle cloue ses victimes aux murs pendant qu'elles dorment avant de les éventrer et de faire en sorte qu'elle reste en vie assez de temps pour qu'elles souffres.
Faîtes attention, elle peut-être n'importe où...

ninqueen a écrit :

Bon, encore une courte que j'ai écris dans le quart d'heure...

Alison
Un soir d'été paraissant complètement anodin, une jeune femme prénommer Alison rentrait de son travail. Exceptionnellement, elle avait finis a 22H30, a cause de ses heures a rattraper.
Bref, Alison rentrait chez elle tranquillement. Elle habitait une maison individuelle dans une petite résidence pavillonnaire près de Bordeaux.
Lorsqu’elle entra dans sa demeure,  elle sentie une odeur nauséabonde, comme si quelque chose avait pourris. Elle se dirigea directement vers la cuisine mais ne vit rien de suspect. Elle pensa donc que ça n'était que les égouts. Bien évidemment, elle se trompait...
La jeune femme monta dans sa chambre sans même manger si faire sa toilette. Se qu'elle vit la tétanisa.
Son cher voisin, cloué au mur, éventrer mais gémissant encore.
-Jonathan ! Qu'est ce qu'il t'es arrivé ?
Un nouveau gémissement sortis de la bouche de l'ami d'Alison. Puis, un bruit sourd se fit entendre dans le couloir. Elle sortis donc de la chambre et essaya de percevoir une silhouette dans le corridor sombre. Elle tenta en vain d'allumer la lumière mais interrupteur avait été collé. Elle distingua tout de même une masse noir se déplaçant de manière inhumaine se diriger vers elle. Puis, un rire.
La jeune femme courus au premier étage, sortis un couteau a viande et sortis de la maison. Toutes le lumières étaient allumé. Soudain, elle se retrouva dans sa salle de bain. Elle avait été comme téléporter.
-Bonjour Alison, comment vas-tu ? Demanda une voix a l’intonation sadique.
Elle tourna la tête et vis une marionnette clown de taille humaine.
-Qui êtes vous ? Demanda-t-elle sous le choc.
-Billy. Tu te souviens de moi Alison ? Tu m'a abandonné il y a exactement 20 ans. Je t'aimais Alison, et je t'aime toujours. Je ne veux plus que tu me quitte. Je vais donc te greffer a moi.
Après ces explications, la marionnette sortis une scie et découpa Alison et la greffa a lui.
Depuis, on dit que cette créature traîne en France et qu'elle cloue ses victimes aux murs pendant qu'elles dorment avant de les éventrer et de faire en sorte qu'elle reste en vie assez de temps pour qu'elles souffres.
Faîtes attention, elle peut-être n'importe où...

fafa125 a écrit :

ninqueen a écrit :

Bon, encore une courte que j'ai écris dans le quart d'heure...

Alison
Un soir d'été paraissant complètement anodin, une jeune femme prénommer Alison rentrait de son travail. Exceptionnellement, elle avait finis a 22H30, a cause de ses heures a rattraper.
Bref, Alison rentrait chez elle tranquillement. Elle habitait une maison individuelle dans une petite résidence pavillonnaire près de Bordeaux.
Lorsqu’elle entra dans sa demeure,  elle sentie une odeur nauséabonde, comme si quelque chose avait pourris. Elle se dirigea directement vers la cuisine mais ne vit rien de suspect. Elle pensa donc que ça n'était que les égouts. Bien évidemment, elle se trompait...
La jeune femme monta dans sa chambre sans même manger si faire sa toilette. Se qu'elle vit la tétanisa.
Son cher voisin, cloué au mur, éventrer mais gémissant encore.
-Jonathan ! Qu'est ce qu'il t'es arrivé ?
Un nouveau gémissement sortis de la bouche de l'ami d'Alison. Puis, un bruit sourd se fit entendre dans le couloir. Elle sortis donc de la chambre et essaya de percevoir une silhouette dans le corridor sombre. Elle tenta en vain d'allumer la lumière mais interrupteur avait été collé. Elle distingua tout de même une masse noir se déplaçant de manière inhumaine se diriger vers elle. Puis, un rire.
La jeune femme courus au premier étage, sortis un couteau a viande et sortis de la maison. Toutes le lumières étaient allumé. Soudain, elle se retrouva dans sa salle de bain. Elle avait été comme téléporter.
-Bonjour Alison, comment vas-tu ? Demanda une voix a l’intonation sadique.
Elle tourna la tête et vis une marionnette clown de taille humaine.
-Qui êtes vous ? Demanda-t-elle sous le choc.
-Billy. Tu te souviens de moi Alison ? Tu m'a abandonné il y a exactement 20 ans. Je t'aimais Alison, et je t'aime toujours. Je ne veux plus que tu me quitte. Je vais donc te greffer a moi.
Après ces explications, la marionnette sortis une scie et découpa Alison et la greffa a lui.
Depuis, on dit que cette créature traîne en France et qu'elle cloue ses victimes aux murs pendant qu'elles dorment avant de les éventrer et de faire en sorte qu'elle reste en vie assez de temps pour qu'elles souffres.
Faîtes attention, elle peut-être n'importe où...

J'aime beaucoup ton histoire !

aimer vous les histoires d'horreur ou en avez vous peur?

J'passe juste comme ça mais je vois pas pourquoi parce-que j'ai trop la frouse pour lire vos histoires

Moi je me suis fait conter une legende pas une de mes amie et cest la suivante

Cest une jeune gardienne qui garde 2 enfants
Comme les enfants etais coucher elle désside decouter une de ses émission d'ado
Environ 20 min. apres que son émission sois commencer elle se fait appeller et la personne qui etais au bout du fil lui lui vin voir les enfants. Comme quelle sais quil y a 2 garçons qui samuse a faire peur au gardienne elle se dit que c'est eu donc elle racroche. Envirron 5 min apres elle se fait re-appeller cette fois sa dit tu nes pas venue voir les enfant la jeune fille dit a la personne arrêter vous ne me faite pas peur. Cella continue elle se fait appeller a plusieur reprise celle-ci tanner desside d'appeller la police. Tant qua eu il desside de faire le tour du cartier et ne voit personne donc decide de retracer lappelle. La police rappelle la gardienne et lui dit que lappelle vien de la maison et qui faut quelle sorte le plus rapidement de la maison. La police fouille la maison mais arriver dans la chambre des enfant les 2 policier remarque les 2 enfant le ventre couper sur le sol dans une flac de sang !!!

Donc cetais cela l'histoire !!!

trop cool vos histoires )

Coucou !

"Le tueur d'Angry Shade" → Ah... Elle est terrifiante cette histoire,  et génial. Tu écris très bien. Je n'aimerais pas vivre dans la crainte que ce tueur me tue...

Laura' → Il est super ! Un peu court, il y a quelques fautes, et c'est super... effrayant ! (C'est le but après tout ! ) Il manque plus qu'un titre.

Fafa' → C'est flippant !! Tes histoires aussi sont biens ! Vilaines petites filles, et horriiibles méchants psychopathes. N'empêche, il est fortiche le psychopathes pour avoir monter avec ses bras. Par contre, tu as fait des multi-posts !

nin' → Quand j'ai lu ton histoire, je serrais mon coussin comme je ne sais pas quoi. Cette poupée qui tue est un peu comme Chucky, non ?

Elles sont cool vos histoires mais je sais pas si je vais dormir cette nuit...