trop effrayante toutes vos histoire
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#577 Le 10-02-2013 à 19h02
Euu je pense que c'est juste un nuage de poussière qui s'élève mais bon...Chichi148 a écrit :
VIDEO ORIGINALE "APPARITION" DE LA D*B (DAME BLANCHE )
Sa fait pas très peur c'est juste histoire de la connaitre !!
:lOl: je vous laisse la regarder
Bon jeu
#578 Le 11-02-2013 à 13h36
L'homme sans jambes.
C'est l'histoire d'une petite fille, Noémie et de sa copine Maëva.
Noémie avait invité Maëva a dormir chez elle, la mère a dit à Noémie, juste avant de partir: "ferme bien la porte et les fenêtres, d'accord ma puce?". Noémie a répondu oui. Les deux petites filles étaient contentes sans les parents, et elles regardaient la télévision, toujours aussi heureuses. Il a apparut à la télévision le JT de 20h, qui expliquait qu'un homme sans jambes hantait les maisons pour rechercher des jambes.
Les deux petites filles n'y croyaient pas du tout et partirent se coucher. Elles étaient couchés sur un lit superposé. En pleine nuit, Noémie et Maëva ont entendu un bruit: TOC TOC TOC. Elles se sont rendormies.
Le lendemain, Noémie qui dormait en haut du lit superposé découvrit son amie en sang, sans ses jambes.. Elle a eut la peur de sa vie.
Le bruit était en réalité la personne cherchant ses jambes en train de monter les escaliers avec des couteaux...
Sur ce, bonne nuit! ♥
Dernière modification par Delphine-H (Le 11-02-2013 à 13h37)
#579 Le 11-02-2013 à 17h55
moi j ai envoyer toute les histoires d horreurs a une amie 1 seule et je me suis pas fait tuer !!!Gwadoudoune a écrit :
Moi j'ai pas envoyer le message, l'histoire m'a juste faite un peu peur ^^ Il faut vraiment être bête pour envoyer ce messagekatty2 a écrit :
Une bonne fois pour toute Carmen existe PAS la preuve je suis pas morte ses bête
puis cette bonne femme ( je précise qui est morte ) va pas venir vous voire minimum réfléchissez
<< Hello , j'mappelle Carmen je vient te tué >> ces RIDICULE ma mère a eu le même mot elle l'a pas envoyer et miracle elle est pas morte !
Ces histoire ses pour faire peur aux enfants et sa à bien marché vous faites pas avoir perso je vais toujours prendre ma douche j'ai pas entendu rire
( Et je vous critique pas ou insulte pas et ni m'énerve )
AH AU SECOURSSSSS CARMEN EST DERRIERE MOI !!!!! ah
#580 Le 12-02-2013 à 20h07
Aaaah, le cavalier sans tête galope après moi pour me tuer x)love2481 a écrit :
moi j ai envoyer toute les histoires d horreurs a une amie 1 seule et je me suis pas fait tuer !!!Gwadoudoune a écrit :
Moi j'ai pas envoyer le message, l'histoire m'a juste faite un peu peur ^^ Il faut vraiment être bête pour envoyer ce messagekatty2 a écrit :
Une bonne fois pour toute Carmen existe PAS la preuve je suis pas morte ses bête
puis cette bonne femme ( je précise qui est morte ) va pas venir vous voire minimum réfléchissez
<< Hello , j'mappelle Carmen je vient te tué >> ces RIDICULE ma mère a eu le même mot elle l'a pas envoyer et miracle elle est pas morte !
Ces histoire ses pour faire peur aux enfants et sa à bien marché vous faites pas avoir perso je vais toujours prendre ma douche j'ai pas entendu rire
( Et je vous critique pas ou insulte pas et ni m'énerve )
AH AU SECOURSSSSS CARMEN EST DERRIERE MOI !!!!! ah
#581 Le 12-02-2013 à 20h22
Coucou, je m'appelle Clara et j'ai 12 ans si vus voulez etre mon ami n'hésitez pas a m'envoyez un message je serais ravis d'y repondre et d'acceptai ?
Merci d'avance !!
#582 Le 13-02-2013 à 08h28
22-clara : merci de ne pas faire de Hors-Sujet (HS)
#583 Le 13-02-2013 à 13h17
Moi je connais une histoire:
Les parent de Blanche ont décidé un soir de partir au restaurant. Le soir même un flash info était passé a la télévision.
Il disait: Attention un fou se serait échapper d'un hospital psychiatrique. Prenez garde, vérifier que toute vos portes sont fermés et rester chez vous...
La petite fille avait très peur car ses parent était déjà partis quand se flash avait été diffusé elle décida alors de fermé toutes les portes et de les bloqué avec une planche un bois.
Au plein milieu de la nuit elle entendit un cris qui glacé le sang, elle commença a s'inquiéter et s'endormit...
Le lendemain matin un autre flash info apparu a la télé:
Le fou a été arrêter vous pouvez recommencer a sortir.
La petite fille alla alors défaire toutes les pièges qu'elle avait mis pour se protègeait et commença a pleurer.
En Effet elle avait oublier que ses parents était aller manger au restaurant. Et quand ses parent ont voulu rentrer le fou les suivait elle n'avait pas penser que ses pièges tuerait ses propres parents... Et elle se rendit vite compte que les cris qu'elle avait entendu était ceux de ses parents.
Dernière modification par maumau2912 (Le 13-02-2013 à 13h19)
#584 Le 13-02-2013 à 15h57
je vais vous proposer une histoire , dites-moi si elle vous plaît ou si vous avez des questions, merci :
La malédiction de la poupée
Un jour une petite fille rentre de l'école avec un bulletin excellent. Sa maman le regarde et elle lui propose d'aller lui acheter un cadeau . Une fois au magasin , la petite fille choisie une poupée qui montre le pouce avec la main droite . Elle est dans une boite fermée avec un cadenas. A la caisse le vendeur leur dit de surtout ne pas oublier de fermer la boite à doubles tour avant minuit. Le soir la fille joue avec sa poupée et ,lorsque sa mère lui dit d'aller dormir l'enfant ferme la boite a clé. Mais le lendemain soir elle ne ferme qu'a simple tour . Quand elle se réveille le matin sa poupée montre deux doigts. Elle descend manger mais sa mère lui annonce que son père et mort. Le soir elle ferme bien sa boite a double tour mais le matin sa mère est morte et sa poupée montre trois doigts, elle va vivre avec sa grand-mère . Le jour d'après elle est meurt aussi et l'enfant entend " plic ploc, plic ploc " elle vérifie tout les robinet ,inquiété mais ils sont tous ferme. Elle découvre dans une des salles de bain son chien pendu avec le sang qui coule . Elle s'endort en pleurant et , à 00:01 elle se réveille et a juste le temps de voir la poupée planter un couteau dans son ventre . A ce moment la poupée ne montre qu'un seul doigt et elle retourne hanter le magasin . Sur son étiquette figure toute les personnes qu'elle a tué . On dit qu'elle continue de hanter les magasins de nos jours.
PS : La poupée peut ouvrir les nombres de tours en fonction des personnes qu'elle a tué c'est pour ça qu'après avoir tuée la mère même ferme a double tour elle a pu se libérer de la boite
Dernière modification par fresia1806 (Le 13-02-2013 à 15h58)
#585 Le 13-02-2013 à 16h00
j'adore tes histoires millyxkawaii
elle sont tros bien
#586 Le 13-02-2013 à 18h27
C flippant... J'adore ça!! Au fait, pour l'histoire de suicide mouse, vous pouvez retrouver la vidéo sur Youtube, mais assurez-vous d'abord de n'avoir aucun couteau, corde, marteau ou clé anglaise a portée de main, car cette vidéo donne des envies suicidaires...
#587 Le 13-02-2013 à 18h45
WOW ! Ton histoire fait vraiment peur ! Ma salle de bain fait déjà assez peur comme sa ... Surtout quond entends des bruit bizarre ...MiilaCkc a écrit :
Elles lui ont fait du mal !
Après le déjeuner, son professeur a annoncé que l'école allait faire un exercice d'incendie. Lorsque l'alarme retentit, Carmen et les autres étudiants sortirent de la salle de classe et ce rassemblèrent dans la cour extérieure. Comme les enseignants lièrent l'appel nominal, la gang de cinq jeunes filles ont décidé que ce fut une excellente occasion d'embarr...asser Carmen devant toute l'école. Elles se sont déplacées vers l'endroit où Carmen se tenait, près d'un drain d'égout, et ont commencées à humilier la pauvre fille, lui criant des insultes et la poussant vers le trou d'égout ouvert.
Elles l’ont poussé et elle a trébuché et tomba la tête la première vers le bas du trou d'’égout. Quand elles ont vu sa chute, les filles ont commencé rire et quand le nom de Carmen a été appelé, elles ont crié "Elle est dans l'égout!"
Tous les autres étudiants se mirent à rire. Mais quand les enseignants méprisants du regard virent le corps de Carmen qui gisait au fond de la boue et la merde, le rire cessa brusquement. Sa tête était tordue d’un angle bizarre, et son visage était couvert de sang. Pire encore, elle ne bougeait pas. Il n'y avait rien que les enseignants pouvaient faire pour elle. Carmen était morte. Quand la police arriva et descendit dans les égouts, ils ont déterminé qu'elle c’était cassé le cou. Son visage avait été arraché quand elle avait frappé l'échelle et son cou cassé quand elle avait atterri sur la tête au fond.
La police transporta le corps de Carmen à la morgue. Tout le monde devait rester à l'école tandis que la police interrogeait tous les camarades de classe de Carmen. Les cinq filles ont menti à la police, disant qu'elles avaient été témoins que Carmen était tombée dans les égouts. La police croit les filles et la mort de Carmen Winstead a été classée comme accident et l'affaire était close. Tout le monde pensait que c'était la dernière fois qu'ils allaient entendre parler de Carmen Winstead, mais ils avaient tort.
Quelques mois plus tard, ses camarades de classe ont commencé à recevoir des e-mails étranges. Les e-mails étaient intitulés «Ils l'ont poussée" et affirmaient que Carmen n’était pas vraiment tombé dans les égouts, mais qu’elle avait été poussée. Les e-mails ont également averti que les personnes coupables devaient prendre la responsabilité de leur crime. S'ils ne le faisaient pas qu'il y aurait des conséquences horribles. La plupart des gens ont rejetés les e-mails comme un canular, mais d'autres n’en étaient pas si sûr.
Quelques jours plus tard, l'une des filles qui ont poussé Carmen dans les égouts a été à la maison prendre une douche, quand elle entendit un rire étrange, caquetant. Il semblait venir de la fuite. La fille a commencé à paniquer et couru hors de la salle de bain. Cette nuit-là, la fille dit bonne nuit à sa mère et alla dormir. Cinq heures plus tard, sa maman fut réveillée au milieu de la nuit, par un grand bruit qui résonna dans toute la maison. Elle courut dans la chambre de sa fille pour y trouver le vide. Il n'y avait aucune trace de la jeune fille. La mère inquiète appela la police et quand ils sont arrivés, ils ont mené une recherche de la région. Finalement, ils ont découvert les restes macabres de la fille.
Son cadavre était couché dans l'égout, couvert de boue et de merde. Son cou était brisé et le visage manquant. Il avait été complètement arraché. Un par un, toutes les filles qui ont poussé Carmen ce jour-là ont été retrouvés mortes. Elles avaient toutes été tués, exactement de la même façon et ont toutes été retrouvés exactement au même endroit. Dans l'égout où Carmen avait rencontré son destin. Mais le meurtre ne s'arrête pas là. De plus en plus d'anciens camarades de classe de Carmen ont été retrouvés morts. Il semblait que tous ceux qui ne croyaient pas que Carmen avait été poussée, ont finalement été retrouvés dans les égouts avec leurs cous brisés et leurs visages arrachés.
Ils disent que le fantôme de Carmen est toujours sur le saccage, à traquer tous ceux qui ne croient pas son histoire. Selon la légende, qu'il s'agisse d'une toilette, d’une douche, d’un évier ou d’un drain, lorsque vous allez dormir, vous vous réveillerez dans l'égout, dans l'obscurité totale, paralysé, incapable de bouger, à entendre caqueter, rires tout autour de vous. Puis, comme tu cries dans l'horreur, Carmen viendra te déchirera le visage.
Donc soyez prudent qui vous intimidez, car vous pourriez simplement vous retrouver sur l'extrémité de réception de la malédiction de Carmen Winstead.
FAIT: Environ deux mois plus tard, 16 ans, David Gregory lus cet article et ne le re-posta pas. Quand il est allé prendre une douche, il entendit des rires, a commencé à paniquer et courut à son ordinateur pour le re-post. Il a dit bonne nuit à sa mère et est allé dormir, mais cinq heures plus tard, sa mère se réveilla au milieu de la nuit à cause d'un bruit fort et David avait disparu. Quelques heures plus tard, la police l'a trouvé dans les égouts, avec une fracture du cou et de la peau de son visage décollée.
Même sur Google tapez son nom vous trouverez que c’est vrai.
Si vous ne renvoyez ce bulletin en disant "Elles lui ont fait du
mal" Carmen va vous trouver..
si vous envoyer pas se message j'ai juste a vous dire a dieux
si vous envoyer se message de 10 a 20 vous aurez la peur de votre vie dans la douche
si vous l'envoyer a toute votre boite vous serez tranquille
Mais bon ... Si je suis venue sur se topic ses pour avoir peur !
Même si j'ai déjà eu la peur de ma vie ...
Bref ... Très bonne histoire de quoi faire peur !
Merci !
#588 Le 13-02-2013 à 18h57
Sinon j'en connais une :
Ses l'histoire d'une fille qui s'appelle caramela .
Un soir sa mère lui dit d'aller se coucher . Alors elle dit bonne nuit maman !
Bonne nuit chat-chat !
Quel que heur plus tard, elle entendit des casserole tomber,le frigo qui s'ouvre les cuillères qui tombe , les couteaux trancher le plancher ...
Caramela commence a s'inquéter ...
Ensuite le bruit d'un "" Miaulement " agressif surgi ...
La petite fille tremble de peur .
A minuit pile exactement , Sa porte s'ouvre toute seul . La petite fille n'en peu plus et se leve. Elle voit un animale devant elle la regardant dans les yeux ROUGE ...
Le lendemain la mère se leve et retrouve sa fille morte,les yeux ouvert,Mais ROUGE
La mère appelle la police qui viens dessuite,Ils disent quelle est définitivement morte mais quelle a été assassiner par un ... un ... un ...
DIABLE DE TASMANIE
1h plus tard, on retrouve le chat mort dans la cuisine de la même façon .
3 semaine plus tard, La mère dit d'avoir vue sont chat vivant .
1jour plus tard, on dit qu'un chat au yeux rouge guette dans les rue a minuit pile pour tuer l'animale ( le diable de Tasmanie ) pour venger la personne qu'il aimait le plus, Caramela ...
désoler pour le double poste !
.....................................................................................................................................
Dernière modification par dosdolo (Le 13-02-2013 à 19h00)
#589 Le 14-02-2013 à 13h28
Mais cette vidéo ne me donne pas envie de me suicider moi ces déjà fait hahaha (j'rigole j'suis vivante enfin peut être lol ses faux bien sur ) moi cette vidéo me fait marrerSibyelle a écrit :
C flippant... J'adore ça!! Au fait, pour l'histoire de suicide mouse, vous pouvez retrouver la vidéo sur Youtube, mais assurez-vous d'abord de n'avoir aucun couteau, corde, marteau ou clé anglaise a portée de main, car cette vidéo donne des envies suicidaires...
#590 Le 14-02-2013 à 18h35
Elle est tellement longue que j'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout tu devrais l'écourter!mimi-rongeur a écrit :
milly': oui je la connait je l'ai vu sur internet!
voici une histoire(tres longue desoler ):
Stéphanie ferma la porte d’entrée et remit ses clefs dans sa poche. Elle se retourna et observa quelques instants le couloir vide devant elle : Ils n’étaient pas rentrés. Ses parents avaient voulu passer le samedi soir « entre eux » à l’extérieur, et l’avaient prévenu qu’ils rentreraient tard. Elle en déduit qu’ils ne devraient pas revenir de si tôt : Il n’était que vingt-deux heures trente.
Stéphanie regardait avec regret cette maison vide, elle s’était imaginé que sa soirée durerait un peu longtemps : Le cinéma avec Cédric c’était bien… mais elle aurait voulu passer plus de temps avec lui. Elle l’avait rencontré deux semaines auparavant lors de la fête qu’elle avait organisée pour ses dix-sept ans : Il lui avait bien tapé dans l’œil, et visiblement cela était réciproque… même si ce soir il n’avait pas insisté pour rester un peu plus avec elle.
Ne sachant trop quoi faire, elle monta clopin-clopant l’escalier : De toute façon j’en passerai d’autres soirées avec lui… la prochaine fois je lui demanderai d’aller boire un verre… rrahhh ! c’est dommage, pour une fois que je n’avais pas les parents sur le dos !
Arrivée dans sa chambre, elle repoussa la porte de la main, pendant qu’elle se refermait, elle envoya sa veste sur le dossier de sa chaise, et se laissa tomber sur son lit, allongée sur le dos. Le claquement de porte fit alors place au silence : Elle regardait le plafond, occupée à se remémorer la soirée, à se demander ce qu’elle ferait demain, à penser à ses prochains rendez-vous avec Cédric ou ses copines... sûrement qu’on l’appellerait demain pour passer le dimanche après midi à quelque chose de mieux que de rester enfermé à la maison… Au fait, on l’avait appelée ce soir ? Elle s’assit sur son lit, saisit le bas de son blouson, fouilla dans une des poches et en sortit son téléphone portable.
Ah oui ! il est éteint. Je l’avais coupé au début de la séance de cinéma… j’ai oublié de le rallumer tout à l’heure. Bah ! c’est pas important, de toute façon personne n’a dû m’appeler ce soir… elles doivent être toutes à s’amuser... elles… et moi qui suis là toute seule... pfff... Ah, si ! J’ai eu des messages sur mon répondeur… hein ? huit ? Ben ça fait beaucoup quand même ! On cherche sûrement à m’appeler depuis tout à l’heure… hé, peut-être que je ne vais pas croupir ici ce soir finalement ! Fébrile à l’idée d’aller retrouver ce soir ses amies, elle appela sans attendre sa boîte vocale.
« Veuillez composer votre code secret puis tapez dièse.
...
Vous avez... HUIT… nouveaux messages »
Elle avait donc bien eu huit messages, au moins là elle en était sûre, mais qui donc aurait bien pu l’appeler huit fois ce soir ?
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT CINQ… MINUTES…
- Quoi ! » s’étonna Stéphanie, stupéfaite. Elle regarda sans attendre sa montre pour s’assurer qu’elle ne se trompait pas sur l’heure : Il était vingt-deux heures trente-quatre.
Bon dieu, huit appels en neuf minutes ! C’est insensé, pourquoi on chercherait autant à me joindre… à moins que… j’espère qu’il n’est rien arrivé de grave… Ce serait terrible si…
Elle fut interrompue dans sa réflexion par le message qui commençait.
Au début elle se demanda si son téléphone fonctionnait correctement, mais il marchait puisqu’elle venait d’entendre distinctement la voix de la boîte vocale. Le son était étrange, comme un froissement de linge au vent suivit d’un bruit sourd, le son se répétait, régulier… comme le bruit d’une machine à laver, comme un tourne disque arrivé à la fin du quarante cinq tour. Le son paraissait si froid, si répétitif « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM ». Pendant les premières secondes, elle ne trouvait pas de quel son il pouvait s’agir, puis le bruit d’une voiture lui fit comprendre qu’on l’appelait de la rue. Du même coup tout lui parut évident : On l’appelait par erreur ! Le portable devait être dans la poche, le clavier n’était pas verrouillé, et l’appui des touches avait finit par appeler un numéro du répertoire du téléphone… et c’était tombé sur elle.
Amusée, elle se prit à écouter le message : toujours ce bruit mécanique, répétitif, le son des voitures, et aussi celui du vent : C’est vrai qu’il ne faisait pas très beau en ce soir d’octobre, et en sortant du cinéma le vent commençait déjà à souffler. Le son en était ici assez angoissant, comme une longue plainte fantomatique, un « oooooouuuuuuuhhhhhhh » qui lui rappelait les soirs de grand vent pendant lesquels ce dernier émettait sa complainte par le foyer de la cheminée du salon.
« Fin du message »
Le brusque retour à la voix de la boîte vocale la surprit. Le message s’était coupé d’un coup, sûrement dû à un nouvel appui accidentel sur la touche d’appel. Ce ne fut pas la brutalité du passage qui la surpris, mais plutôt le fait d’entendre cette voix féminine, calme et posée, qui contrastait tellement avec le bruit mécanique de la marche, mêlé à celui des voitures, et du souffle du vent sur le micro du téléphone. Elle ne s’en était pas rendu compte lors de l’écoute du message, mais ce son était au fond assez sinistre.
« Tapez 2 pour effacer, 3 pour réécouter.
...
Effacer ».
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT SEPT… MINUTES… »
Le message était quasi identique au premier : Toujours ce bruit, répétitif, monotone, qui devenait pour elle un peu angoissant, plus pesant que précédemment.
Et puis il va y en avoir encore six comme ça ?... Eh bien... Super ! Mais de qui ça provient ? Qui c’est qui m’appèle à la fin ? Voulant passer au prochain message pour que la boîte vocale lui fournisse le numéro de l’appelant, et ayant assez entendu ce bruit, elle coupa le message sans attendre.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT HUIT… MINUTES… »
Mais la boîte ne donnait pas de numéro, elle aurait dû formuler normalement un « message provenant du ... ». Elle se rappela que sur les deux premier messages on ne lui avait pas signalé le numéro. Elle en déduisit que l’appelant avait sûrement choisi que son numéro soit masqué aux personnes qu’il appelait : Sur le portable de Stéphanie le message « numéro privé » s’affichait quand une personne ayant cette option lui téléphonait. Elle fouilla dans sa mémoire pour trouver qui elle connaissait dans ce cas-là. A peine elle avait commencé à réfléchir que le message débutait, et le son lancinant reprenait. Un peu plus à chaque fois, il intensifiait en elle un certain malaise.
Le son répétitif s’arrêta. Le hululement du vent prenait plus d’importance en l’absence du bruit assommant produit par la marche, elle entendait toujours les voitures passer. La personne était toujours dans la rue et venait de s’arrêter, elle n’entendait plus rien d’autre que le vent et les voitures. Que fait-il ? Ou bien que fait-elle ? pensait Stéphanie. Il est peut être en train de regarder quelque chose ? de s’arrêter pour allumer une cigarette ? ou alors juste pour prendre un peu le temps de flâner ? Tout cela la rendait de plus en plus curieuse… en même temps elle ne se sentait pas très bien, gênée d’entendre une autre personne à son insu, et aussi tout simplement parce que le bruit de la marche à travers le micro du téléphone dans la poche était sinistre !
Puis le désagréable son de marche reprit et commençait franchement à l’apeurer : « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… ». Elle continuait d’écouter le message, le bruit des voitures semblait diminuer : Est ce qu’il rentrait dans un lotissement ? est ce qu’il allait dans une plus petite rue ? Finalement tracassée par ce côté « voyeur malgré elle », elle coupa le message et passa au suivant.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE… MINUTES… »
Le message était toujours le même : toujours ce bruit répétitif et morne. Mais elle n’entendait plus le bruit des voitures, la personne devait sûrement s’être engagée dans une petite rue. Agacée par le son, elle coupa le message.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEUR...
BIP BIP... BIP BIP»
Surprise par le son elle mis le téléphone face à elle : Comme le signal sonore l’avait indiqué, elle venait de recevoir un message... La personne continuait à l’appeler par erreur.
Elle remit le téléphone à son oreille, et fut surprise d’entendre assez distinctement le miaulement d’un chat. Elle n’entendait toujours aucun bruit de voiture, juste le bruit et le vent. Puis, le son se transforma quelque peu, elle percevait comme un écho, la personne était peut-être dans une cour, ou dans une petite ruelle étriquée. Le bruit répétitif se fit de plus en plus lent, puis s’arrêta, c’est alors qu’à sa grande surprise elle entendit des gémissements. Ces derniers étaient plutôt faibles, mais elle en était sûre, elle entendait quelqu’un gémir au loin, c’était une voix féminine, mais elle avait du mal à l’entendre. Encore plus que les pas, ces gémissements la mettaient mal à l’aise.
Le bruit de la marche reprit, mais lentement. Le volume des gémissements augmentait : Il ou elle s’approche d’elle… est ce qu’elle est malade ? pourquoi elle gémit comme ça ? peut-être il ou elle est de sa famille ? Stéphanie s’embrouillait dans toutes ces interrogations… Elle avait peur, de plus en plus peur de ce qu’elle entendait, mais tout cela l’hypnotisait, elle voulait suffisamment savoir ce qui allait se passer pour ne pas raccrocher.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE ET UNE… MINUTES… »
Le vent soufflait toujours, les pas avaient cessé, les gémissements continuaient, ils étaient très forts maintenant : Stéphanie en déduit qu’il ou elle devait se tenir devant la femme. Etait-ce sa mère ? peut-être que oui… ou peut être que non, elle ne savait plus très bien. Elle se sentait fébrile et à la fois mal à l’aise d’écouter tout cela à leur insu.
Elle fut vraiment inquiète quand les gémissements firent place à des pleurs : Elle entendait distinctement la femme pleurer, à l’oreille elle aurait dit que la femme devait être assez âgée, dans la cinquantaine peut être. Mais pourquoi se mettait elle à pleurer ? Stéphanie serrait le téléphone à son oreille en tremblant : son bras, son corps frémissait, elle se sentait mal… elle avait peur de ce quelle entendait : Le son du vent, les pleurs, et auparavant le son des pas l’avait fait plonger petit à petit du trouble vers l’effroi. Mais elle ne voulait pas raccrocher, elle voulait savoir, elle voulait entendre la suite.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE TROIS… MINUTES… »
Les pleurs redoublaient, elle avait de plus en plus de mal à continuer d’entendre cela. Brusquement un bruit effréné de frottements se fit entendre avec force, ils furent très vite accompagnés de bruits secs et sourds. Ce fut surtout les cris de la femme qui terrorisèrent Stéphanie. Elle hurlait, elle souffrait… le bruit sourd qu’elle entendait maintenant, elle le compris vite, était assurément le bruit des coups qu’il ou elle infligeait à la vieille femme.
Stéphanie était pétrifiée par ce quelle écoutait et ce qu’elle pouvait en conclure. Elle restait assise sur son lit, ne sachant que faire, tout se mélangeait dans sa tête, tout cela était tellement inconcevable : Elle était en train d’entendre, avec une poignée de minutes de retard, quelqu’un battre furieusement une vieille femme. Complètement paniquée, elle coupa le message.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE QUATRE… MINUTES… »
Ca n’en finira jamais ! se disait elle en entendant l’annonce du prochain message. Elle faillit éteindre son téléphone, mais elle ne le fit pas… peut-être pouvait-elle en apprendre plus ? peut-être qu’elle pourrait intervenir ? … elle ne pouvait se résoudre à raccrocher, elle ne le pouvait pas… elle ne le voulait pas.
Rien que le début du message la pétrifia de nouveau : les frottements bruissaient toujours autant, les cris de la femme avaient fait place à des gémissements, le son des coups continuait à retentir… Elle entendait l’agresseur émettre de petits geignements, sûrement dus à l’effort monstrueux et infâme qu’il déployait : C’était la voix d’un homme… mais elle entendait encore mal le son. Ce fut progressivement que le sombre nuage de la terreur envahi Stéphanie à mesure que les bruits de la femme s’estompaient, et que les geignements de l’agresseur faisaient place à des mugissements de plus en plus forts… Progressivement elle reconnut avec effroi la voix de Cédric. Elle se rappela avoir eu des appels de lui : son numéro ne s’affichait pas sur son téléphone. Elle s’en souvenait bien car elle s’était dit qu’elle ne pourrait pas savoir quand il l’appellerai avant de décrocher. Son petit ami était donc assurément en train de battre une femme quelque part, peut-être qu’il la battait à mort… il la battait à mort : On entendait plus la voix de la femme, plus que les beuglements de Cédric et le bruit de ses coups sur le corps de la femme. Terrifiée, Stéphanie raccrocha, elle ne voulait plus entendre tous ces messages, tout cela était trop horrible, trop abominable, tout cela n’était pas possible, elle avait dû mal comprendre.
La sonnerie de son téléphone, pourtant guillerette, la terrifia quand elle se déclencha. Elle était plongée dans ses tourments, ne sachant ni que penser ni que faire. La sonnerie de son téléphone lui fit l’effet d’une décharge électrique à travers le corps. Lentement elle ramena son portable devant ses yeux, sur l’écran, elle n’en était pas surprise, était indiqué « numéro privé ». Elle attendit une sonnerie, puis deux, elle était épouvantée. Puis presque impulsivement elle appuya sur la touche pour décrocher et colla promptement le téléphone à son oreille : Elle n’entendait plus de coups, elle entendait juste un bruit régulier de frottement, c’était tout… Stéphanie pleurait, elle imaginait la pauvre femme à moitié morte, Cédric la traînant par les pieds… Cette image dans sa tête lui était insoutenable, surtout accompagnée de ce sinistre son de frottement.
Soudain, un grand choc se fit entendre, le volume en était si fort qu’il lui fit mal à l’oreille, et ajouté à l’effet de surprise, elle en décolla quelque temps l’appareil. Quand elle le rapprocha de nouveau, le seul son qu’elle entendit était celui du vent, bien plus fort que précédemment.
Subitement elle entendit comme un grondement sourd mêlé de fracas. Puis d’un coup, elle entendit très distinctement de la voix de Cédric :
« Stéphanie ? ».
Prise par surprise, elle ne put réprimer un petit cri d’étonnement.
« Putain Stéphanie ? Bon Dieu, qu’est ce que tu fais en ligne, merde ! MERDE ! MER ».
Complètement abasourdie et terrorisée elle raccrocha aussitôt et éteignit son téléphone.
Il m’a entendu crier ! mon dieu, il sait que j’ai entendu… A l’aide, pitié ! Qu’est ce que je peux faire ? Il va peut-être venir ici me chercher… me tuer ! Je ne peux pas rester ici, je dois m’en aller tout de suite, peut-être était-il tout près de la maison ? Oh putain, c’est horrible, je… je dois aller à la police… je dois partir d’ici… il faut que je prévienne la police !
Sur ce, Stéphanie bondit de sur son lit, et se précipita à toute allure hors de la maison. Elle courrait vers le commissariat de la ville, qui n’était qu’à cinq minutes de sa maison.
Mais elle n’arriva jamais au commissariat.
On l’enterra une semaine plus tard, deux jours après avoir retrouvé son corps, ainsi que celui de la mendiante que Cédric avait battu à mort.
#591 Le 15-02-2013 à 17h30
oui moi non plus je ne l'ai pas lu jusqu'à la fin tu devrais l'écourter Arabina a raisonArabina a écrit :
Elle est tellement longue que j'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout tu devrais l'écourter!mimi-rongeur a écrit :
milly': oui je la connait je l'ai vu sur internet!
voici une histoire(tres longue desoler ):
Stéphanie ferma la porte d’entrée et remit ses clefs dans sa poche. Elle se retourna et observa quelques instants le couloir vide devant elle : Ils n’étaient pas rentrés. Ses parents avaient voulu passer le samedi soir « entre eux » à l’extérieur, et l’avaient prévenu qu’ils rentreraient tard. Elle en déduit qu’ils ne devraient pas revenir de si tôt : Il n’était que vingt-deux heures trente.
Stéphanie regardait avec regret cette maison vide, elle s’était imaginé que sa soirée durerait un peu longtemps : Le cinéma avec Cédric c’était bien… mais elle aurait voulu passer plus de temps avec lui. Elle l’avait rencontré deux semaines auparavant lors de la fête qu’elle avait organisée pour ses dix-sept ans : Il lui avait bien tapé dans l’œil, et visiblement cela était réciproque… même si ce soir il n’avait pas insisté pour rester un peu plus avec elle.
Ne sachant trop quoi faire, elle monta clopin-clopant l’escalier : De toute façon j’en passerai d’autres soirées avec lui… la prochaine fois je lui demanderai d’aller boire un verre… rrahhh ! c’est dommage, pour une fois que je n’avais pas les parents sur le dos !
Arrivée dans sa chambre, elle repoussa la porte de la main, pendant qu’elle se refermait, elle envoya sa veste sur le dossier de sa chaise, et se laissa tomber sur son lit, allongée sur le dos. Le claquement de porte fit alors place au silence : Elle regardait le plafond, occupée à se remémorer la soirée, à se demander ce qu’elle ferait demain, à penser à ses prochains rendez-vous avec Cédric ou ses copines... sûrement qu’on l’appellerait demain pour passer le dimanche après midi à quelque chose de mieux que de rester enfermé à la maison… Au fait, on l’avait appelée ce soir ? Elle s’assit sur son lit, saisit le bas de son blouson, fouilla dans une des poches et en sortit son téléphone portable.
Ah oui ! il est éteint. Je l’avais coupé au début de la séance de cinéma… j’ai oublié de le rallumer tout à l’heure. Bah ! c’est pas important, de toute façon personne n’a dû m’appeler ce soir… elles doivent être toutes à s’amuser... elles… et moi qui suis là toute seule... pfff... Ah, si ! J’ai eu des messages sur mon répondeur… hein ? huit ? Ben ça fait beaucoup quand même ! On cherche sûrement à m’appeler depuis tout à l’heure… hé, peut-être que je ne vais pas croupir ici ce soir finalement ! Fébrile à l’idée d’aller retrouver ce soir ses amies, elle appela sans attendre sa boîte vocale.
« Veuillez composer votre code secret puis tapez dièse.
...
Vous avez... HUIT… nouveaux messages »
Elle avait donc bien eu huit messages, au moins là elle en était sûre, mais qui donc aurait bien pu l’appeler huit fois ce soir ?
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT CINQ… MINUTES…
- Quoi ! » s’étonna Stéphanie, stupéfaite. Elle regarda sans attendre sa montre pour s’assurer qu’elle ne se trompait pas sur l’heure : Il était vingt-deux heures trente-quatre.
Bon dieu, huit appels en neuf minutes ! C’est insensé, pourquoi on chercherait autant à me joindre… à moins que… j’espère qu’il n’est rien arrivé de grave… Ce serait terrible si…
Elle fut interrompue dans sa réflexion par le message qui commençait.
Au début elle se demanda si son téléphone fonctionnait correctement, mais il marchait puisqu’elle venait d’entendre distinctement la voix de la boîte vocale. Le son était étrange, comme un froissement de linge au vent suivit d’un bruit sourd, le son se répétait, régulier… comme le bruit d’une machine à laver, comme un tourne disque arrivé à la fin du quarante cinq tour. Le son paraissait si froid, si répétitif « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM ». Pendant les premières secondes, elle ne trouvait pas de quel son il pouvait s’agir, puis le bruit d’une voiture lui fit comprendre qu’on l’appelait de la rue. Du même coup tout lui parut évident : On l’appelait par erreur ! Le portable devait être dans la poche, le clavier n’était pas verrouillé, et l’appui des touches avait finit par appeler un numéro du répertoire du téléphone… et c’était tombé sur elle.
Amusée, elle se prit à écouter le message : toujours ce bruit mécanique, répétitif, le son des voitures, et aussi celui du vent : C’est vrai qu’il ne faisait pas très beau en ce soir d’octobre, et en sortant du cinéma le vent commençait déjà à souffler. Le son en était ici assez angoissant, comme une longue plainte fantomatique, un « oooooouuuuuuuhhhhhhh » qui lui rappelait les soirs de grand vent pendant lesquels ce dernier émettait sa complainte par le foyer de la cheminée du salon.
« Fin du message »
Le brusque retour à la voix de la boîte vocale la surprit. Le message s’était coupé d’un coup, sûrement dû à un nouvel appui accidentel sur la touche d’appel. Ce ne fut pas la brutalité du passage qui la surpris, mais plutôt le fait d’entendre cette voix féminine, calme et posée, qui contrastait tellement avec le bruit mécanique de la marche, mêlé à celui des voitures, et du souffle du vent sur le micro du téléphone. Elle ne s’en était pas rendu compte lors de l’écoute du message, mais ce son était au fond assez sinistre.
« Tapez 2 pour effacer, 3 pour réécouter.
...
Effacer ».
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT SEPT… MINUTES… »
Le message était quasi identique au premier : Toujours ce bruit, répétitif, monotone, qui devenait pour elle un peu angoissant, plus pesant que précédemment.
Et puis il va y en avoir encore six comme ça ?... Eh bien... Super ! Mais de qui ça provient ? Qui c’est qui m’appèle à la fin ? Voulant passer au prochain message pour que la boîte vocale lui fournisse le numéro de l’appelant, et ayant assez entendu ce bruit, elle coupa le message sans attendre.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT HUIT… MINUTES… »
Mais la boîte ne donnait pas de numéro, elle aurait dû formuler normalement un « message provenant du ... ». Elle se rappela que sur les deux premier messages on ne lui avait pas signalé le numéro. Elle en déduisit que l’appelant avait sûrement choisi que son numéro soit masqué aux personnes qu’il appelait : Sur le portable de Stéphanie le message « numéro privé » s’affichait quand une personne ayant cette option lui téléphonait. Elle fouilla dans sa mémoire pour trouver qui elle connaissait dans ce cas-là. A peine elle avait commencé à réfléchir que le message débutait, et le son lancinant reprenait. Un peu plus à chaque fois, il intensifiait en elle un certain malaise.
Le son répétitif s’arrêta. Le hululement du vent prenait plus d’importance en l’absence du bruit assommant produit par la marche, elle entendait toujours les voitures passer. La personne était toujours dans la rue et venait de s’arrêter, elle n’entendait plus rien d’autre que le vent et les voitures. Que fait-il ? Ou bien que fait-elle ? pensait Stéphanie. Il est peut être en train de regarder quelque chose ? de s’arrêter pour allumer une cigarette ? ou alors juste pour prendre un peu le temps de flâner ? Tout cela la rendait de plus en plus curieuse… en même temps elle ne se sentait pas très bien, gênée d’entendre une autre personne à son insu, et aussi tout simplement parce que le bruit de la marche à travers le micro du téléphone dans la poche était sinistre !
Puis le désagréable son de marche reprit et commençait franchement à l’apeurer : « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… ». Elle continuait d’écouter le message, le bruit des voitures semblait diminuer : Est ce qu’il rentrait dans un lotissement ? est ce qu’il allait dans une plus petite rue ? Finalement tracassée par ce côté « voyeur malgré elle », elle coupa le message et passa au suivant.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE… MINUTES… »
Le message était toujours le même : toujours ce bruit répétitif et morne. Mais elle n’entendait plus le bruit des voitures, la personne devait sûrement s’être engagée dans une petite rue. Agacée par le son, elle coupa le message.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEUR...
BIP BIP... BIP BIP»
Surprise par le son elle mis le téléphone face à elle : Comme le signal sonore l’avait indiqué, elle venait de recevoir un message... La personne continuait à l’appeler par erreur.
Elle remit le téléphone à son oreille, et fut surprise d’entendre assez distinctement le miaulement d’un chat. Elle n’entendait toujours aucun bruit de voiture, juste le bruit et le vent. Puis, le son se transforma quelque peu, elle percevait comme un écho, la personne était peut-être dans une cour, ou dans une petite ruelle étriquée. Le bruit répétitif se fit de plus en plus lent, puis s’arrêta, c’est alors qu’à sa grande surprise elle entendit des gémissements. Ces derniers étaient plutôt faibles, mais elle en était sûre, elle entendait quelqu’un gémir au loin, c’était une voix féminine, mais elle avait du mal à l’entendre. Encore plus que les pas, ces gémissements la mettaient mal à l’aise.
Le bruit de la marche reprit, mais lentement. Le volume des gémissements augmentait : Il ou elle s’approche d’elle… est ce qu’elle est malade ? pourquoi elle gémit comme ça ? peut-être il ou elle est de sa famille ? Stéphanie s’embrouillait dans toutes ces interrogations… Elle avait peur, de plus en plus peur de ce qu’elle entendait, mais tout cela l’hypnotisait, elle voulait suffisamment savoir ce qui allait se passer pour ne pas raccrocher.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE ET UNE… MINUTES… »
Le vent soufflait toujours, les pas avaient cessé, les gémissements continuaient, ils étaient très forts maintenant : Stéphanie en déduit qu’il ou elle devait se tenir devant la femme. Etait-ce sa mère ? peut-être que oui… ou peut être que non, elle ne savait plus très bien. Elle se sentait fébrile et à la fois mal à l’aise d’écouter tout cela à leur insu.
Elle fut vraiment inquiète quand les gémissements firent place à des pleurs : Elle entendait distinctement la femme pleurer, à l’oreille elle aurait dit que la femme devait être assez âgée, dans la cinquantaine peut être. Mais pourquoi se mettait elle à pleurer ? Stéphanie serrait le téléphone à son oreille en tremblant : son bras, son corps frémissait, elle se sentait mal… elle avait peur de ce quelle entendait : Le son du vent, les pleurs, et auparavant le son des pas l’avait fait plonger petit à petit du trouble vers l’effroi. Mais elle ne voulait pas raccrocher, elle voulait savoir, elle voulait entendre la suite.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE TROIS… MINUTES… »
Les pleurs redoublaient, elle avait de plus en plus de mal à continuer d’entendre cela. Brusquement un bruit effréné de frottements se fit entendre avec force, ils furent très vite accompagnés de bruits secs et sourds. Ce fut surtout les cris de la femme qui terrorisèrent Stéphanie. Elle hurlait, elle souffrait… le bruit sourd qu’elle entendait maintenant, elle le compris vite, était assurément le bruit des coups qu’il ou elle infligeait à la vieille femme.
Stéphanie était pétrifiée par ce quelle écoutait et ce qu’elle pouvait en conclure. Elle restait assise sur son lit, ne sachant que faire, tout se mélangeait dans sa tête, tout cela était tellement inconcevable : Elle était en train d’entendre, avec une poignée de minutes de retard, quelqu’un battre furieusement une vieille femme. Complètement paniquée, elle coupa le message.
« Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE QUATRE… MINUTES… »
Ca n’en finira jamais ! se disait elle en entendant l’annonce du prochain message. Elle faillit éteindre son téléphone, mais elle ne le fit pas… peut-être pouvait-elle en apprendre plus ? peut-être qu’elle pourrait intervenir ? … elle ne pouvait se résoudre à raccrocher, elle ne le pouvait pas… elle ne le voulait pas.
Rien que le début du message la pétrifia de nouveau : les frottements bruissaient toujours autant, les cris de la femme avaient fait place à des gémissements, le son des coups continuait à retentir… Elle entendait l’agresseur émettre de petits geignements, sûrement dus à l’effort monstrueux et infâme qu’il déployait : C’était la voix d’un homme… mais elle entendait encore mal le son. Ce fut progressivement que le sombre nuage de la terreur envahi Stéphanie à mesure que les bruits de la femme s’estompaient, et que les geignements de l’agresseur faisaient place à des mugissements de plus en plus forts… Progressivement elle reconnut avec effroi la voix de Cédric. Elle se rappela avoir eu des appels de lui : son numéro ne s’affichait pas sur son téléphone. Elle s’en souvenait bien car elle s’était dit qu’elle ne pourrait pas savoir quand il l’appellerai avant de décrocher. Son petit ami était donc assurément en train de battre une femme quelque part, peut-être qu’il la battait à mort… il la battait à mort : On entendait plus la voix de la femme, plus que les beuglements de Cédric et le bruit de ses coups sur le corps de la femme. Terrifiée, Stéphanie raccrocha, elle ne voulait plus entendre tous ces messages, tout cela était trop horrible, trop abominable, tout cela n’était pas possible, elle avait dû mal comprendre.
La sonnerie de son téléphone, pourtant guillerette, la terrifia quand elle se déclencha. Elle était plongée dans ses tourments, ne sachant ni que penser ni que faire. La sonnerie de son téléphone lui fit l’effet d’une décharge électrique à travers le corps. Lentement elle ramena son portable devant ses yeux, sur l’écran, elle n’en était pas surprise, était indiqué « numéro privé ». Elle attendit une sonnerie, puis deux, elle était épouvantée. Puis presque impulsivement elle appuya sur la touche pour décrocher et colla promptement le téléphone à son oreille : Elle n’entendait plus de coups, elle entendait juste un bruit régulier de frottement, c’était tout… Stéphanie pleurait, elle imaginait la pauvre femme à moitié morte, Cédric la traînant par les pieds… Cette image dans sa tête lui était insoutenable, surtout accompagnée de ce sinistre son de frottement.
Soudain, un grand choc se fit entendre, le volume en était si fort qu’il lui fit mal à l’oreille, et ajouté à l’effet de surprise, elle en décolla quelque temps l’appareil. Quand elle le rapprocha de nouveau, le seul son qu’elle entendit était celui du vent, bien plus fort que précédemment.
Subitement elle entendit comme un grondement sourd mêlé de fracas. Puis d’un coup, elle entendit très distinctement de la voix de Cédric :
« Stéphanie ? ».
Prise par surprise, elle ne put réprimer un petit cri d’étonnement.
« Putain Stéphanie ? Bon Dieu, qu’est ce que tu fais en ligne, merde ! MERDE ! MER ».
Complètement abasourdie et terrorisée elle raccrocha aussitôt et éteignit son téléphone.
Il m’a entendu crier ! mon dieu, il sait que j’ai entendu… A l’aide, pitié ! Qu’est ce que je peux faire ? Il va peut-être venir ici me chercher… me tuer ! Je ne peux pas rester ici, je dois m’en aller tout de suite, peut-être était-il tout près de la maison ? Oh putain, c’est horrible, je… je dois aller à la police… je dois partir d’ici… il faut que je prévienne la police !
Sur ce, Stéphanie bondit de sur son lit, et se précipita à toute allure hors de la maison. Elle courrait vers le commissariat de la ville, qui n’était qu’à cinq minutes de sa maison.
Mais elle n’arriva jamais au commissariat.
On l’enterra une semaine plus tard, deux jours après avoir retrouvé son corps, ainsi que celui de la mendiante que Cédric avait battu à mort.
#592 Le 15-02-2013 à 18h10
le spoiler devine qui c'est c'est un film il s'appele Urban legend et elle na pas envie de dormir en faite la premiere fois la fille rentre dans la chambre et voit ca coloc en train de faire l'amour sauvagement avec un copain a elle et sa coloc lui dit de fermer la lumiere la deuxieme fois elle revient mais n'allume pas la lumierre comme lavait demander sa coloc la fille avec le livre come tu pretend croit entendre des bruit s de fille qui jouie mais enfaite c'est sa coloc qui ce fait etoufffer par un meurtrier la fille au livre va se coucher en croyant que ca coloc fait l'amour le lendemain la fille au livre se reveille et voit sa coloc morte et sur le mur cest ecrit " contente de ne pas avoir aluumer la lumiere " c'est pas pareil !!!
#593 Le 16-02-2013 à 10h17
Moi j'ai une histoire assez longue mes pas trop :
Lili était au resto avec sa meilleur amie le soir vers 23h il fallait rentrer Lili aurai bien voulu l'inviter à dormir chez elle mes ses parents ne voulait donc Lili rentra
23h30 : elle était dans son bloque elle montait les longues 101 marches arriver en haut elle ouvrit la porte de chez elle ses parents n'était pas rentrer l'idée de rester seule était tentente donc elle pris un paquet de chip , s'assit devant son programme préférer
24h : Il était tard et Lili voulait se coucher mes le téléphone retentit
-Qui sa peux être a s'theur si ?
- Allo ces qui ?
Le téléphone restait muet , quand soudain BOUM ! Un bruit a vous glacé le sent retentit Lili par peur raccrocha
et alla se couché
1h : Ha ha ha !!!!
- C'est qui ? Maman papa ?
- ...
Lili alluma la lumière et ....
#594 Le 17-02-2013 à 13h36
Il n'y a pas que moi qui raconte des histoire quand même ?!
#595 Le 17-02-2013 à 13h40
Katty2 le forum n'est pas un tchat
Bref' j'ai une histoire..
Alors c'est une fille qui va sur un site appelé Terreur.Com. Elle y' passé presque tout la journée dessus à regardé des vidéos ! Un jour, alors qu'elle y' allait les vidéos marchait plus pendant 2 jours.. 48h après ses 2 jours cette fille se retrouvas morte découpé en morceau avec le clavier pleins de sang ! Ce site fit pleins de victimes ! Plus de 5 victimes.. Jusqu'au jours ou on découvert que celui qui regardé ce site ce retrouvas 48h après mort découpé en morceau avec le clavier en sang..
#596 Le 17-02-2013 à 14h34
Chiara74 tu croit a ton histoire ? Moi je sais pas trop ces un peu ... vague
#597 Le 17-02-2013 à 15h35
J'adore les histoire d'horreur, pas vous?
#598 Le 17-02-2013 à 15h36
J'adore les histoires d'horreur, pas vous?
#599 Le 17-02-2013 à 15h48
J'adore la malédiction de la poupée : )
#600 Le 23-02-2013 à 17h38
Bonjour,
Moi je connais une histoire, elle ne fais pas peur parce que c'est pas vraiment une histoire d'horreurs bon allez je raconte:
C'est l'histoire d'une fille qui fait le mur et trouve un homme beau qui l'accompagne chez elle en voiture sauf que l'homme était ivre et il fit un accident. La fille se réveille a l'hopital sachant qu'il lui reste peut de temps a vivre. Une infirmière lui dit que le couple dans l'autre voiture est mort et que sont copain l'es aussi, la jeune fille demande alors a l'infirmière de dire a ses parents qu'elle était désoler de ne pas les avoir écouter mais celle ci ne répond pas. Plus tard la fille meurt et une autre infirmière demande a la femme qui l'avait écouter pourquoi elle n'a rien dit et elle répond qu'elle ne savait pas quoi lui dire car le couple dans l'autre voiture était ces parents.
J'en ai une autre qui ne fait pas peur mais te dit méfie toi
C'est une femme qui croit avoir trouvé l'homme de sa vit et avais passé la nuit avec cette homme, le lendemain la femme doit partir et l'homme lui donne une lettre qu'elle ne doit ouvrir qu'une fois chez elle et qu'il faut qu'elle soit prete a changer de vie. Dans le train ou elle était on entendu un hurlement toutes les personnes courrèrent voir ce qui n'allait et virent la femme avec la lettre ouverte ou il y avait marqué " Bienvenue chez les gens qui ont le sida".
Et voila ! Désoler c'est pas des histoires d'horreurs.