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"A quoi bon ?" Fis-je. "Je n'ai rien a lui dire." Ajouté-je.
Elle hoche la tête pour approuver. Dehors il faisait froid, de la neige tombait du ciel. Janvier. Quel mois monotone et sans intérêt ! Mes autres amis nous avait quittés à la fin de la séance et ma meilleure amie et moi faisions le trajet pour rentrer dans nos maisons mutuelle. J'essuie mes bottes mouilles et fraiche sur le paillasson en face de notre humble demeure avant d'y frapper à la porte et d'y voir m'ouvrir par surprise ...

Je suis donc Mère-grand, qui semblait être impatiente à l'idée de me montrer sa nouvelle décoration de chambre, il est vrai qu'elle adorait arpenté les brocantes dans son village, et puis dés qu'on la convie dans la chambre d'invité, elle la décore de ses objets trouvés : une sorte de passe-temps. Bon d'accord ce n'est pas toujours splendide, mais si ça l'occupe pendant qu'on est absent alors ... Passons. Je ricane dans ma barbe, non pas à l'idée que cet hobbie est stupide, mais presque. Et là, à ma plus grande surprise ... Je découvre la chambre ...

Dernière modification par Aqalie (Le 20-02-2015 à 12h41)

Mon entousiasme fut de courte durée. Ma grand-mère se plaint soudain de sérieux mots de ventre et le bruit sourd qui tintinabulait dans mon oreil n'était d'autre que ses genous tombant à terre.
"Mamie ! Qu'est-ce que t'as ?" je m'écris.
Collée au parquet, elle ne semble plus réceptive à ce que jelui dit. Ses yeux se mettent à rouler en arrère.
Je laisse une plainte animal qui n'a rien d'élégant traverser mes dents et appelle le Samu. Pourquoi Mamie était-t-elle tombée ?

Au pied du lit de ma grand-mère, un jeune garçon y était assis. Et c'est à ce moment là que ma mémoire revint, c'est lui : Le garçon du cinéma. Il lui parlait avec douceur avant que j'arrive.
"Bonjour." Fais-je
"Qui es tu ?" Me demande ma grand-mère en grognant.
"Sh...Shanyaberte-Melissa." Bredouille-je entre mes dents (anectode à sansdessein : Quel drôle de nom que vous lui avez donnez sérieux x) )
"Ansel, faîtes sortir cette fille, je ne la connais pas." Crachet-elle au visage du jeune homme. Ansel, le garçon de cinéma, se dirige vers moi. Je ravale mes larmes et l'empêche de me pousser vers la sortie. Mais ... On dirait plutôt qu'il veut essayer de me parler, sans l'oreille attentive de ma grand-mère qui épie les lieux.

Dernière modification par Aqalie (Le 05-03-2015 à 19h14)

Ma mère me répetait souvent : "Shanyaberte, ne lâche pas les choses, finit les jusqu'aux bout." Lorsque que jecréais des bracelets ou faisait des coloriages et n'allait jusqu'au bout. Alors pour une fois, je me dirige vers son lit et appelle un médecin. Elle ne sa rappelle sans doute pas de moi, voilà l'ennui. Avec anxiété je la regardait se tendre dans tout les sens et pousser des cris animal, qui n'ont rien d'élégant. Une seule chose que je regrette, ne pas avoir prit contact avec Ansel. Dés que le médecin arrive à la hâte je le salue et cours dans la direction qu'il avait prit.

Je reste paralysée jusqu'au moment ou un infirmimer qui tenait un branquart me demande de me dégager. Je m'excuse sèchement, hantée par la gêne. Je finis par quitter l'hospital. Je ne sais même plus ce que je devais faire. Rentrer chez moi ? C'est bien la dernière chose que j'eu envie de faire. Je sais que je croiserai Maman et Ulysse, mon petit frère et je serai obligatoirement forcé de le faire par de ce qu'il sait passé. A quoi bon ? L'hospital les a appelé, juste après le moment où je leur ai donnés leur numéro. (Excusez-moi, je n'ai pas trouvé de phrase plus suptile x) ). Les flocons de neiges envahissent mes cheveux et je commence à m'emplir de froid. Ma mère me dit souvent de me couvrir plus. Pour une fois j'admet mon tord. Je décide de suivre Ansel du regard qui s'échappe dans le premier bus et...

Dernière modification par Aqalie (Le 18-03-2015 à 18h40)

Il a rapidement décidé de prendre le bus le plus proche qu'il avait, car il essayait de s'échapper de...