Cromimi - Pierwsza darmowa wirtualna gra o zwierzętach online

A mon best friend (non inscrit sur cromimi) :

*sache que je t'adore
*un ami c comme un tresor
*tout ce qui compte, ce n'est pas l'or,
*c l'amitié, l'amour...
*Aimer pour toujours
*T mon best friend,
*A la fin d'un film, y a souvent "the end"
*Pour moi c pas la fin,
*car rien ne se fini jamais
*mais on attendra le matin
*ou tout va se terminer
*se moment appréhendé
*que personne n'a jamais demandé
*mais on ne peux rien y faire
*un jour sera la mort de la terre...
*entiere


Pour Caro

Caro, ne nettoie pas les careaux.
Je le ferais,
Caro, ne saute pas de la haut,
Tu te turais,
Surement et normalement,
Affronter les dangers,
Dessins, illustrés,
Pour te dire que je t'adore,
Et que tu es superbe
Carooooo, oh,
Caroooooooo, oh,
Tu es une amie,
Que j'ai appris a connaitre,
Et j'en suis raviiiiiiiiiiiiie,
Pour toujours, surement et peut etre
Caroooooo, oh
Carooooooooo, oh,
Tu es une amie,
Que j'ai appris a connaitre,
Et j'en suis raviiiiiiiiiiiiiiie,
Pour toujours, surement et peut etre.


Pour samumu :

Petit frère,
Petit frère,
Attrape les vagues,
qui bougent dans la mer,
Petit frère,
Petit frère,
Tu merites une bague,
Extraordinaire,

J'te connais assez bien,
Cromimi c'est l'jeu des amis,
Et toi , tu es tres sympa
donc tu en fais parti !
Mon petit frere,
De cromimi
Mon petit frere,
J't'adore aussi !

pourquoi tes pas restre prés de moi?
je taime à mort .
jsuis sur la bonne voie

Pour ma part, voici une deuxième version de mon ancien livre:

Le jour ou je suis partie


<<Papaaa, je suis lààà!
Ca c'est moi, Nelly, 14 ans et je vis avec mon père. J'ai un petit ami, Lian, et on et ensemble depuis  2 ans. Il a 16 ans et demi, et demain c'est son anniversaire!

Mon père est là et me regarde fixement, et me regarde de la tête aux pieds. Il ajoute:
-Bonjour Layla, alors cette journée d'école?
-Euh... Couçi couça …
-Non je rigole! Je sais bien que c'est ton dernier jour d'école!
-Ah j'avais complètement oublié !!!

Je monte dans ma chambre, et m'allonge sur mon lit, quand soudain, mon portable sonne.
-Oui?
-Allô Nelly?
C'est Lian
-Oui Lian?
-Tout va bien?
-Bien sûr! Pourquoi cette question?
-Allume la télévision, sur la 6.

J'allume, et regarde la chaîne avec peur .

« La police recherche actuellement et depuis lundi dernier, cet homme, qui a déjà violé plusieurs adolescentes... »

J'éteins après avoir vu le portrait robot de cet homme si recherché

-C'est ton père, dit fermement Lian, tu es sa prochaine victime.
J'éteins mon portable.

Mon père ouvre la porte et m'ordonne:

-Deshabille-toi, Nelly, c'est un ordre!
-Non, il n'en est pas question!
-Enlève tes vêtements!
Il s'approche de moi!Je cours ver la fenêtre et sors en sautant par dessus et lui la claque au visage!
Je dois fuir!

Voilà Voili Voilou

MissLP2I, on attend toujours la suite

Je me sens inspiré, je vais écrire...

Le ciel, sombre tâche au-dessus de nos têtes, me faisais hâter le pas. Je devais me dépêcher. Il avait dit:
" Expédiez cela le plus vite possible. " en même temps, je suis censé être le meilleur.
Je suis censé être le meilleur tueur...
Je tiens à dire que je ne tue pas pour un quelconque plaisir.
Cet immeuble fera l'affaire.
Je ne suis pas comme les autres qui regardent leur victime se débattre dans les méandres de la mort. Un sourire dévoilant tout leur sadisme.
S'allongeait, le prendre. Où l'ai-je mis ? Poche avant, sur la poitrine. Je l'ai.
Je ne fais pas ça pour un quelconque sentiment de puissance. Il paraît qu'avoir la vie d'un individu entre ces mains, donne ce sentiment. Personnellement, ça ne m'ait jamais arrivé...
Attendre, il avait dit 15h30. Elle serait assise sur le banc en face de l'Église. Quelle ironie...
Je ne fais pas ça pour l'argent. Nager dans une mare de billets n'est pas mon voeux...
Repérait.
Je suis le meilleur. Pourquoi ? Nombre de psychologues ont essayé de percer mon mystère. Nul ne l'a su.
Visait.
Moi-même, je ne sais pas.
Tirait.
Peut-être que je m'en fiche. Je n'ai peut-être pas de conscience. Mais est-ce possible ? Ne rien ressentir...
Une femme s'est écroulé. Les portes de l'Église s'ouvre. Des cris beaucoup, de cris. Cette femme a du sang, beaucoup de sang autour d'elle. Elle a le regard fixe. Elle est comme moi, elle n'a plus de conscience.
Suis-je mort ? Ai-je déjà vécu une fois dans ma vie?
Je ne sais pas. Je m'en fiche.
Le prochain travail est pour demain, 5h47.
Dormir ne me fera pas de mal...


MissLP2I::: ton histoire est super !
franchement j'tencourage à la finir !!!
pour l'inspiration c'est normal qu'il y ait des blocages, t'inquiètes au contraire te focalises pas là-dessus, ce serait vraiment trop bête que t'arrête ton livre pour ça ^^

Dernière modification par angel1000 (Le 22-01-2010 à 22h31)

Nakikatana a écrit :

Pour ma part, voici une deuxième version de mon ancien livre:

Le jour ou je suis partie


<<Papaaa, je suis lààà!
Ca c'est moi, Nelly, 14 ans et je vis avec mon père. J'ai un petit ami, Lian, et on et ensemble depuis  2 ans. Il a 16 ans et demi, et demain c'est son anniversaire!

Mon père est là et me regarde fixement, et me regarde de la tête aux pieds. Il ajoute:
-Bonjour Layla, alors cette journée d'école?
-Euh... Couçi couça …
-Non je rigole! Je sais bien que c'est ton dernier jour d'école!
-Ah j'avais complètement oublié !!!

Je monte dans ma chambre, et m'allonge sur mon lit, quand soudain, mon portable sonne.
-Oui?
-Allô Nelly?
C'est Lian
-Oui Lian?
-Tout va bien?
-Bien sûr! Pourquoi cette question?
-Allume la télévision, sur la 6.

J'allume, et regarde la chaîne avec peur .

Edit modo : Je supprime un petit passage du texte étant donné qu'il est contraire au règlement.

J'éteins après avoir vu le portrait robot de cet homme si recherché

-C'est ton père, dit fermement Lian, tu es sa prochaine victime.
J'éteins mon portable.

Mon père ouvre la porte et m'ordonne:

-Deshabille-toi, Nelly, c'est un ordre!
-Non, il n'en est pas question!
-Enlève tes vêtements!
Il s'approche de moi!Je cours ver la fenêtre et sors en sautant par dessus et lui la claque au visage!
Je dois fuir!

Voilà Voili Voilou

MissLP2I, on attend toujours la suite

Merci Bleu-marine! Donc, pour vous faire plaisir voici la suite que je viens de finir à l'instant:

Je cours dans le jardin, boueux, et je m'en mets partout. Soudain, je tombe sur l'herbe mouillée et piétinée par mes Converse. Pas étonnant, ça glisse!!!Je me relève et recommence à courir.
J'arrive à un arrêt de bus, je m'assois sur le banc et envoie un message de mon téléphone à celui de Lian:
« Je suis à l'arrêt de bus, viens me chercher stp »
J'éteins mon téléphone et j'attends patiemment Lian, même si j'espère qu'il arrivera assez tôt.
Je ne peux plus me retenir de pleurer, et j'attends sous la pluie, en pleurant.


Un quart d'heure plus tard, j'entends une voix:
-Nelly? C'est toi?
Je relève ma tête que j'avais blottie entre mes mains, je suis affreuse!Mes yeux sont rouges et mon mascara coule sur mon visage.
-Ne me regarde pas Lian! Je suis affreuse! Je dégouline de partout!
-Tu sais, tu m'étonnes parfois.
-Et pourquoi donc?
-Tu vois, j'aurais très bien pu ne pas venir, et pourtant tu me cries dessus, mais c'est ce qui fait ton charme.
Il me dépose un bisou sur le front
-Lève-toi, je te ramène chez moi.
Je me lève doucement, et va sous son parapluie, même si je suis encore sous le choc. Sa maison est à 10 minutes d'ici en marchant. Je suis blottie contre lui, j'ai froid.
-Wah tu es glacée, tiens, prends mon manteau!
-Tu es sûr? Tu vas avoir froid!
-Ne t'inquiètes pas.
Nous marchons tous les deux sous la pluie glacée. Lian me serre fort dans ses bras, nous sommes en automne, il fait nuit et il est 19 h 30.

Voilà !

Nakikatana a écrit :

Merci Bleu-marine! Donc, pour vous faire plaisir voici la suite que je viens de finir à l'instant:

Je cours dans le jardin, boueux, et je m'en mets partout. Soudain, je tombe sur l'herbe mouillée et piétinée par mes Converse. Pas étonnant, ça glisse!!!Je me relève et recommence à courir.
J'arrive à un arrêt de bus, je m'assois sur le banc et envoie un message de mon téléphone à celui de Lian:
« Je suis à l'arrêt de bus, viens me chercher stp »
J'éteins mon téléphone et j'attends patiemment Lian, même si j'espère qu'il arrivera assez tôt.
Je ne peux plus me retenir de pleurer, et j'attends sous la pluie, en pleurant.


Un quart d'heure plus tard, j'entends une voix:
-Nelly? C'est toi?
Je relève ma tête que j'avais blottie entre mes mains, je suis affreuse!Mes yeux sont rouges et mon mascara coule sur mon visage.
-Ne me regarde pas Lian! Je suis affreuse! Je dégouline de partout!
-Tu sais, tu m'étonnes parfois.
-Et pourquoi donc?
-Tu vois, j'aurais très bien pu ne pas venir, et pourtant tu me cries dessus, mais c'est ce qui fait ton charme.
Il me dépose un bisou sur le front
-Lève-toi, je te ramène chez moi.
Je me lève doucement, et vais sous son parapluie, même si je suis encore sous le choc. Sa maison est à 10 minutes d'ici en marchant. Je suis blottie contre lui, j'ai froid.
-Wah tu es glacée, tiens, prends mon manteau!
-Tu es sûr? Tu vas avoir froid!
-Ne t'inquiètes pas.
Nous marchons tous les deux sous la pluie glacée. Lian me serre fort dans ses bras, nous sommes en automne, il fait nuit et il est 19 h 30.

Voilà !

Dernière modification par Bleu-marine (Le 03-02-2010 à 20h58)

Pour refaire plaisir a Bleu-marine, voici la suite ^^

Nous arrivons trempés chez lui malgré son parapluie. J'entre doucement, pour ne pas réveiller les parents de Lian, qui sont endormis devant la télé, il est 20 heures. Je me déchausse et vais dans sa chambre.
-Fais comme chez toi! Dit-il.
Je regarde autour de moi: les murs sont blancs et il n'y a pas beaucoup de meubles... Le seul objet de luxe qu'il ait, c'est sa guitare acoustique. Même si ses parents sont aisés, ils ne s'occupent pas trop de leur fils.
Je m'assois sur son lit, qui émet immédiatement un craquement. Lian me rejoint.
-Tu as mal?
-Quoi?
-A ton bras. Il saigne.
C'est sûrement quand je suis tombée dans mon jardin pendant ma fuite.
-Ce n'est rien. Ne t'inquiètes pas.
-Je vais quand même chercher le désinfectant et du coton, je reviens dans une minute.
Lian part tranquillement, et je m'allonge sur le lit.
Quelques secondes plus tard, j'entends Lian arriver :
-Me revoilà! Tiens, donne moi ton bras.
-Merci...
Je lui tends mon bras, et il commence à frotter doucement sur la plaie.
-Tu dors chez moi ce soir?
-Oui je préfère rester ici que d'aller chez moi.
-Et tu as des autres vêtements?
Un silence survient
-Pardon, c'était bête. Je vais prendre quelques vêtements à ma mère.
-Ca ne va pas la déranger?
-Je vais prendre les vieux. Tu dors avec moi, je suppose?
-Euh oui, je pense, mais je ne veux pas gêner.
Lian part et revient presque aussitôt.
-Voilà!
-Merci encore.
Je les enfile et il me montre un plateau repas.
-Tu as faim?
-Bien sûr!!!
On s'installe sur la table et on dîne tout les deux en parlant de tout et de rien.

A mon ancien livre je m'étais arrêtée par là.

Nakikatana a écrit :

Pour refaire plaisir a Bleu-marine, voici la suite ^^

Nous arrivons trempés chez lui malgré son parapluie. J'entre doucement, pour ne pas réveiller les parents de Lian, qui sont endormis devant la télé, il est 20 heures. Je me déchausse et vais dans sa chambre.
-Fais comme chez toi! Dit-il.
Je regarde autour de moi: les murs sont blancs et il n'y a pas beaucoup de meubles... Le seul objet de luxe qu'il ait, c'est sa guitare acoustique. Même si ses parents sont aisés, ils ne s'occupent pas trop de leur fils.
Je m'assois sur son lit, qui émet immédiatement un craquement. Lian me rejoint.
-Tu as mal?
-Quoi?
-A ton bras. Il saigne.
C'est sûrement quand je suis tombée dans mon jardin pendant ma fuite.
-Ce n'est rien. Ne t'inquiètes pas.
-Je vais quand même chercher le désinfectant et du coton, je reviens dans une minute.
Lian part tranquillement, et je m'allonge sur le lit.
Quelques secondes plus tard, j'entends Lian arriver :
-Me revoilà! Tiens, donne moi ton bras.
-Merci...
Je lui tends mon bras, et il commence à frotter doucement sur la plaie.
-Tu dors chez moi ce soir?
-Oui je préfère rester ici que d'aller chez moi.
-Et tu as des autres vêtements?
Un silence survient
-Pardon, c'était bête. Je vais prendre quelques vêtements à ma mère.
-Ca ne va pas la déranger?
-Je vais prendre les vieux. Tu dors avec moi, je suppose?
-Euh oui, je pense, mais je ne veux pas gêner.
Lian part et revient presque aussitôt.
-Voilà!
-Merci encore.
Je les enfile et il me montre un plateau repas.
-Tu as faim?
-Bien sûr!!!
On s'installe sur la table et on dîne tout les deux en parlant de tout et de rien.

A mon ancien livre je m'étais arrêtée par là.

Alors, mes chers lecteurs, je vais déjà changer une petite phrase du début:

« Cet homme ayant déjà tué plusieurs adolescentes, veuillez contacter la police et leur dire l'endroit ou siège cet individu si vous le voyez... »

au lieu de:
« La police recherche actuellement et depuis lundi dernier, cet homme, qui a déjà violé plusieurs adolescentes... »

et quelques autres passages, mais ça ne change quasiment rien à l'histoire.

GRAND BRAVO A LILLYANNIA

Ton texte est magnifique je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi beau.
Moi aussi j'adore écrire plus tard je serais écrivain.

Nakikatana tu es un écrivain en herbe continue comme ça !

Bonjour,voici une petite histoire(et non un poème),je lis beaucoup,en espérant que mon récit vous plaira :
20H00 le 4/08/1012 à Ostilaille (ville).
Un chat part de la maison,une souris sort de son trous,les chevaux s'affolent,les oiseaux partent au Nord.
Que ce passe-t-il donc ?
Une télévision allumé dans un salon,sur les infos :
-"Et nous vous informons,d'une catastrophe,un rade-marré arrivera sur Ostilaille à 16H00 demain après-midi.Ne vous affolez pas,il faut partir au Nord,ne prenez que le nécessaire."

Les bagages fêtent la famille Onioss,part pour le Nord.Les bouchons suivent toute la route,les bateaux sont prêts à partirent .
-"Mesdames et messieurs ne vous affolez pas !Le chemin que nous suivrons ne rencontrera pas le rade-marré."

2 enfant de 16ans (une fille Alexandra et un garçon Milles)n'ont pas pu partir,ils prennent une voiture et rencontre 2 adultes(une femme Laura et un garçon Ritch),mais le rade-marré arrive.
-"Vite !Sortez !Tous dans l'église crient Laura et Ritch d'une même voix.Donnez-vous la main Alexandra et Milles."
Ils courent dans l'église,montent tout en haut et la vague arrive.Heureusement,elle n'atteint pas le sommet ou sont Alexandra,Milles,Laura et Ritch.Ritch arrive a ouvrir une trappe qui donne sur le toit de l'église.
-Allez,sortez !
-Oua !!!Incroyable !s'écrit Milles.
-Nos maisons !Les magasins!Le lycée !Tout est détruit !pleure Alexandra.Comment on va faire ?

Voilà,après à vous d'inventer une suite,à cette histoire d'une catastrophe.

J'adore ton livre nikitana! MissLP2I, on veut la SUITE!

Voici une petite poésie ::

Tes idées confuses
On souvent une lueur d'espoir
Malgré tes excuses
Tu continue a y croire
Le vent t'emporte souvent
Au cours du Temps
Il faut surmonter
C'est idées insensé
Tout sa pour ton intéré
Alors tu te dit je garde l'essentiel
Sans nouveauté
Le cœurs serré .

Ouaiiiis, j'ai réécris des poèmes !!!
Je voulais vous les faire partager..
Ils sont pas terribles, je les ai écris sans trop réfléchir donc voilà mais tenez :


Matin de printemps

Regarder le soleil
Se lever la matin.
Bonne humeur tu me tiens
Maint'nant je m'émerveille.

Je ne veux pas de vent,
Non merci pour la pluie.
Et puis 'faut qu'je sourie
En cette journée d'printemps.

Il n'y'a pas de nuages
Chante bel oiseau
Regarde comm' il fait beau
Mais surtout restons sage.



Amour perdu

J'entends au creux de mon oreille
Ta voix qui douc'ment me réveille.
Tu me dis que tu n'm'aimes pas
Et tu pars d'un coup, comme ça.

Brusquement je te murmure
Que ces mots comme une blessure
On traversé mon cœur, mon âme
Étonnamment cela se calme.

Je vois encore ton manteau gris
Disparaitre dans la nuit
Par cette porte en bois de pin
Même si c'est dur, je me souviens.

Je me souviens bien-sur de toi
Qui ma souvent pris dans tes bras.
Tu m'apaisais matin et soir
Et puis maintenant tu pars.

Tant pi tant mieux, la vie est belle
J'ai perdu cette étincelle.
Immobile sur mon lit
Une larme coule mais je sourie.

Dernière modification par Nana-K (Le 11-02-2010 à 18h25)

Regarder le monde avec les yeux d'un enfant.
Avoir toujours le même regard innocent.
Oublier ses soucis en fermants les yeux.
Posséder assez d'espoir pour deux.
Rêver de la lune et du soleil.
Voir le monde un peu naïvement quand même.
Se tenir la main en rêvant à l'avenir.
Sans avoir peur de ce qui va advenir.
Refuser de devenir adultes pour de vrai.
En jouant avec les mots sans regrets.
C'est tellement plus facile.
Ca protège de ses souffrances qui laissent des traces indélébiles.
Mais, il faut grandir quand même puisqu'on ne cesse de le répéter
Seul le poète reste un gros bébé.
Il passe à travers les âges en se taillant sa propre voix.
Celle de l'âme d'enfant qui ne meure pas.

PS:N'hésiter pas si vous voulez me dire ce que vous en pensez!

Dernière modification par Delphine1994 (Le 13-02-2010 à 13h02)

L'ordre de l'histoire :

un homme poursuit son chien,un chien poursuit un chat,un chat poursuit une souris,la souris fait peur à la dame,la dame cri à son mari de laisse le chien.Son mari déménage.
Le chien court après le chat,le chat court après la souris,la souris fait peur à la dame,la dame cri à son chien de chasser la souris.Le chien part chez les voisins.
Le chat court après la souris,la souris fait peur à la dame,la dame attrape son chat.Le chat part dans le jardin.
La souris fait peur à la dame.Qui déménage après cela.
Ainsi donc,la souris fait peur à tout le monde ?

Quelques poèmes pour l'écologie parce qui faut bien en parler...

Les arbres chantent.
La rivière se pare de lumière.
Les herbes dansent.
C'est le chant de la terre.
Qui m'emplis les oreilles d'une incroyable douceur.
Comme le parfum des fleurs.
Mais qui suis-je pour revendiquer tout ça?
Moi qui ne suis qu'homme, je me prend pour dieu et me voilà.
Je l'apprivoise.
Parce que si je ne la possède pas, la beauté me laisse un goût de vase.
Mais, elle semble se flêtrir.
Est-ce mon contact qui la fait mourir?
Il y à des choses qu'on ne peut emprisonnée.
Mais, jamais ne s'en rend compte l'enfant gâté.

Il y à là des choses qu'on ne peut retenir captive.
Comme le chant des oiseaux.
Comme le parfum des fleurs.
Comme le murmure de l'eau.
Comme un coeur.
Un coeur qui s'arrête de battre.
Une personne qui ne cesse de se débattre.
"Ras de marrée, tremblements de terre...
Effet de serre..."
"Regardez-moi, je suis là....
Ne me laissez pas."
Comme un SOS, une voix qui cri.
Comme un SOS, quelqu'un qui appel au secours.


Celui-là, il est vieux et je l'ai déjà poster sur internet (kidadoweb, c'est trop dommage que le site soit fermé), alors peut être que quelqu'un la déjà lu...

  Vive le printemps,
  Qui fait vivre les jonquilles.
  Vive le ruisseau,
  Qui distribue la vie.
  Vive le moineau,
  Symbole de la joie,
  Qu'il puisse vaincre le désarroi.

  La nature est si belle.
  Pourquoi veux-tu l'apprivoiser?
  Sais-tu que cela gâcherait sa beauté?

  Fait attention car bientôt tes erreurs,
  Tu ne pourras plus les réparer.
  Je te demande juste d'avoir un peu de coeur,
  Pour cette terre qui se meurt 

Voilà j'espère que je vous pas trop ennuyer avec mes histoires de respect de l'environnement et tous...mais bon ça me tiens vraiment à coeur tout ça.
Et puis si il y à des commentaires...J'suis toute ouïe comme d'habitude!

Dernière modification par Delphine1994 (Le 15-02-2010 à 20h30)

Aujourd'hui je me lance, je vous dévoile un de mes poèmes ... Si vous voulez bien donnez moi votre avis par mp ... Merci (et puis vous avez le droit de pas aimer si vous précisez pourquoi !)

Aparté.

Je me croyais imperméable
Mais c'était irrémédiable
Son regard
Me transperçait le coeur
Son sourire
M'irradiait de bonheur

Il se souciait de moi
Je ne pensais qu'à lui
J'y croyais cette fois
A cet aparté dans ma vie

Il entendait mes soupirs
Je me noyais dans son regard
Il croyait en mes sourires
Je perdais pied dans son océan d'amour
Il diffusait le calme
De sa voix de velours
Il me laissait sans armes
Comme un papillon d'Or

Je ne savais pas alors
Ce qui m'attendait dehors
Cette lettre immaculée
Qu'il m'a laissé
Un torrent bouyonnant de peur
Se forma en moi
Lui, ma seule arme contre l'erreur !
L'aparté se referma.

Voici deux poèmes que j'ai écrit (je ne me trouve pas particulièrement bonne mais bon) :

La joie

Après avoir porté ton fruit
Tu entends des rires
Tu vois des sourires
Tu aperçois les copains clin d'oeil
Tu es attiré par cette joie
Malgré la peine qui t'envahit parfois
Tu peux aussi te sentir libre comme n'importe quoi
Et lancer des sourires pour un monde de rires
Pour la joie de tous ne verse pas de larmes
Juste pour cette fois
Donne-moi un sourire et un rire et cela me suffira
De tout l'univers la meilleure chose est la joie ou le bonheur
Vis ta vie
Et vis l'instant présent comme tu le vois
Envoie-moi l'impression du bonheur
Et vis ta vie à chaque heure
Pour cette fois tu n'as versé aucune larme
Et tu as créé des sourires sur tous les visages
Peu importe l'âge...


La peine

La vie c'est
La joie, la peine, la peur
Moi, j'ai un coeur sensible
Tellement prévisible
Mes yeux ne seront parfois coopératifs et verseront des larmes
Plus que des larmes, qui perçeront les regards comme une lame
Qui ne feront peu de bonheur
Qui donneront tristesse et non tendresse
Qui ne sècheront pas
Avant des millions d'années
Qui traversera la mémoire de celui ou de celle-ci
Qui remplira son petit coeur d'eau
Qui fera déborder tous les ruisseaux
Tellement il y aura d'eau...

Voici un autre texte :

Je me sens comme seule au monde
J'ai l'impression que personne ne me comprend
Je crois que je suis maudite
Pourquoi est-ce qu'on m'a envoyé sur terre pour être insulter de tous?
Est-ce de la jalousie ou est-ce vraiment qu'une vague de méchanceté?
Je fais tout le temps le mieux de moi-même
Je fais ce qu'on attend de moi
Pourtant je n'en récolte par grand chose
Mon pire défaut?
Je suis trop gentille
Je ne veux pas devenir comme eux
Je suis incapable de me défendre
De dire quoi que se soit
Après c'est pire, croyez-moi
Il y a quelque chose que je ne comprend pas
Pourquoi ça les amuse de faire ça
Pourquoi ils veulent ma peine
Et pourquoi mes efforts n'ammènent qu'à ça
Pourquoi les élèves qui font le moins d'efforts sont les plus populaires
C'est bien d'être rigolo
Mais quand c'est en insultant le monde c'est plus drôle du tout!
Un jour, je suis sûr que j'en aurais assez
Je crierais sur tous les toits ma peine et ce que ça fait même s'ils ne comprenent pas...
Je me saurais libérer...
De tout ce qu'il y a en dedans
De toute cette intimidation.........................
Et je vais BRISER LE SILENCE

Dernière modification par Angeldu13 (Le 04-03-2010 à 19h09)

moi aussi je suis poète j'airai bientôt mon premier livre je suis algérienne


                         un sourire d'adieu

Je me souviens vaguement,
Il y a environ quatre ans,
Un au revoir douloureux,
Un sourire, puis un adieu,
Un pleur et puis  deux,
Une larme tendrement,
Sur ma joue d’enfant,
Une très lourde douleur,
Qui hantait mon cœur,
Une perte ? Une mort !
Une vraie avec remords …
Peut-être qu’à sept ans, 
Nous sommes enfants,
Mais on a des sentiments,
On ne comprend,
Pas clairement,
Mais on ressent ;
Et puis dans nos mondes,
Pas un seul malheur,
Un petit sourire fait notre bonheur,
Et des petites ondes,
De fortes douleurs,
Laissait place à l’oubli,
de nos meilleurs amis.
Je l'ai écris en hommage a mon grand père mort.

Le soleil rayonnait, et pourtant Elle pleurait. seul, sous un parasol, sur une plage, dans une ville, dans un pays, sur un continent, sur la planète... Seul. Tout a coup, le vent s'était mit a souffler et les arbres sifflait. Une tempête s'annonçait, mais elle ne bougeait pas. La fin du monde, elle l'avait devant ses yeux. a des kilomètres, Une vague de 368 mètres se courbait et s'allongeait en avançant. Les autres personnes qui étaient avec elle avant était partit, trouillard et se fichant de cette petite fille. A a peine six ans, elle avait déjà compris que dans quelques minutes, elle serait en engloutit par la mer. Le ciel devenait noir. La vague était a une centaines de mètres, maintenant. Elle se leva, prête a aceuillir la mer. Elle avait les bras grand ouvert, les yeux rouges, et les sandales pleine de sable. On l'aurait pris pour une folle en la voyant comme ça, et pourtant elle ne l'était pas. Puis la vague fut a quelque centimètre de son visage. Et le monde s'arrêta de tourner, devant cette petite fille. La vague avait disparu. Les arbres ne sifflait plus. Le vent était désormais partit. Mais un sourire était apparu sur le visage de la petite fille.

Voila voila!!! j'espère que cette histoire vous plairas! ^^

Alors que son rayon de soleil de tous les jour passait la porte, elle lui déposa un baiser sur le front. Cette petite merveille qu'elle avait créée. Enfin, pas vraiment. Ce matin même, un homme frappa à cette même porte qui s'illumine chaque fois que son "petit coeur" l'emprunte. Cet homme lui avait alors annoncé cette nouvelle qui la fit trembler de la t^te aux pieds, qui la fit chavirer, qui la fit pleurer de tristesse... Il lui expliqua alors ce qui se passera dans trois jours. Trois jours seulement, c'est ce qui lui restait pour voir sa fille. Énormément de pensées, plus différentes les unes que les autres, avec seul point commun son petit ange. Comment cela pouvait-il se passer ! Comment un enfant, qui lui ressemblait pourtant autant, qu'elle avait élevé, choyé, câliné, ne pouvait pas être le sien ! Comment pourrait-elle survivre sans elle, sa seule raison de vivre ! Elle se le demandait, mais dans trois jours, on lui enlèverait tout ce qu'elle avait de plus cher au monde. Il devait y avoir une erreur. Ce n'était pas possible. Elle ne pourrait pas laisser seule cette petite, mais elle en était sure, elle l'avait portée. Elle se souvenait de ces neufs mois difficiles, mais où elle était tellement heureuse. Elle se souvenait de celui qu'elle aimait, mais lui ne l'aimait pas. La preuve, il s'était enfui, laissant seule une mère qui n'avait ni métier, ni famille.
En tout cas, dans trois jours, ce sera la fin, la fin de sa vie. Un vi seule, ça n'en est pas une...

écrit à l'instant

Je ne veux pas mourir
Au pire
Forcez moi à rire
J'ai envie de dire
"Vous êtes Horrible" .