Cromimi - Pierwsza darmowa wirtualna gra o zwierzętach online

voila mon poeme

si tu meur je meur
si tu part je part

tout simplement jai besoin de toi

Hey,chers écrivains!

Bon,bon,je sais, je ne suis pas venue ici depuis très longtemps....
Mais j'ai une surprise (un peu courte), la suite de  MON journal!
Mais avant je commente(histoire de faire durer le suspens xD)

Miss-Capu-cla : La suite!
Je te donne un conseil, développe plus les moments les réactions et les sentiments vécus par la jeune fille.
Cela t'aidera a faire plus long :3!

Djanisse : Tu connais mon avis, mais je le redis, la suiite !!

Choutess : ! Tu as beaucoup de talents!

Rebecca : C'est beau, et c'est bien vrai ! ^^


Et voila.....La suite !!!

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*Chapitre IX

Mercredi 3 mai

8h35

Je me réveille,mange,prends ma douche et m'habille : tee-shirt noir long,un legging noir, des tennis et une veste en jean.

Pour faire de l'accrobranche, des tennis plates c'est pas pratique alors du coup je met des baskets de sport dans un sac et un K-way.
On va manger là-bas , mes parents prendront le pique-nique.


9h40

Excitée,trop je suis ! Tiens, j'ai oublié la crème solaire ! J'en peut plus d'attendre !


9h55

J'attrape mon sac , préviens mes parents que tout le monde a rendez-vous à l'entrée du camping et leur rappelle une fois de plus de ne pas oublier les piques-niques.
Je cours comme une folle à l'aire de jeux...Pour arriver pile à l'heure !

10h05

Simon et Lola arrivent , tout excités avec eux aussi des sacs. Après tout le tralala habituel, Simon s'exclame :

Trop bien ! On sera beaucoup,une famille géante ! Yeah *Il se met à danser et à chanter

Léa : Oui , bon Simon,on se calme d'accord ?! Il faut rester zen...Inspire...Expire...

Moi : Je crois que vous devriez vous calmez tout les deux ! D'un côté on a un garçon excité comme un gosse de 5 ans, et de l'autre on a une fille obsédée par la zen attitude. Je suis tombée avec des fous !!

Simon : Pffff,je ne suis pas fou !

Lola : Je ne suis pas folle !

Moi : Oui oui c'est ça ! Bref,on rejoins les autres ?

Simon : No-ous y-y a-all-on-ons ! *Il chante*


On arrive à l'entrée du camping et trouvons déjà les parents en pleine discussion et les enfants entrain de jouer ou de se chamailler.Nous,les ados, partons en tête puis les petits nous suivent et enfin les parents.


10h20

Moi :Ouah,c'est gigantesque !

Simon : Cela se voit que t'as jamais fait de l'accrobranche toi !

Moi : Oh, toi ça va !

Lola : Bon les amoureux,on y va , les autres nous attendent !

Simon et moi : On est pas amoureux !

              Sur ce , Lola nous regarda en riant et parti en compagnie des autres. Simon et moi nous regardons et partons en courant abattre Lola.

Crocou!

Voici mon premier chapitre:

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Madame June
CHAPITRE1
DRÔLE DE JOURNÉE!
C’était un matin ordinaire pour la ville Hidden Springs. Le soleil se levait comme d’habitude à 7 :00 pile. Les maisons, la plus part en briques, faisaient scintiller le lac Hemposh. Le chant du coq se fit entendre et comme à l’habitude, June se leva. Avec son pyjama rose, elle n’avait pas l’air d’avoir ses 14 ans. Elle se regarda dans son miroir et soupira :- Cela va me prendre des heures à enlever ces fichus nœuds! Elle mit ses pantoufles blanches et fila dans les marches d’escalier. Une marche, deux marches, trois marches et ainsi de suite. June avait l’habitude, sa vie n’était qu’un long fleuve tranquille. Elle descendit à la cuisine et activa le grille-pain. Elle se prépara un jus d’orange frais et s’installa en attendant ses rôties.  June regarda par la fenêtre et vit les autres maisons et un garçon… CE garçon. Iwan. June avait une attirance pour lui. Qui ne résisterait pas à ses cheveux bruns, ses yeux verts et sa bouche? En tout cas, June l’aimait depuis qu’elle avait 6 ans. Dans un Cling! Sonore, son petit-déjeuner était là. Elle les sortit et mis de la confiture aux fraises dessus. –Hum… Commenta June. Elle commença son petit-déjeuner. Les fraises et le sucre remplirent sa bouche, laissant un goût juteux et agréable dans la bouche. En quelques bouchées, elle finit son assiette et le déposa dans le lave-vaisselle. Elle but d'un trait son jus et le laissa sur le comptoir, pour finir le reste plus tard. Elle remonta les escaliers et entra dans sa chambre. Les murs étaient peints rouge cerise et son tapis était blanc comme neige. Elle se coucha sur son lit double blanc et regarda sa chambre. Sa chambre était impeccable, sauf son bureau. Il y avait des piles et des piles et des piles de papiers, comme des dossiers criminels ou autre. June était fasciné par l'espionnage depuis qu'elle était haute comme trois pommes. Elle s'habilla avec un jeans moulant noir, une chemise blanche et un veston noir. Elle adorait le look espionne et elle en était fière! Elle pris son sac à dos se fit une queue de cheval et alla à la salle de bain se brosser les dents. La tâche finie elle vit des papiers en boule. Elle les déplia et vit la même affaire sur chaques bouts de papiers:Floh weg von Ihrer Familie, wird sie versuchen, dich zu töten. Achten.

Mais que cela voulait dire?

Dernière modification par marif881 (Le 24-06-2013 à 22h09)

Mdeiir:cro04::cro04::etoile::coeur:

Coucou, pourriez - vous m'aidez, je recherche des prénoms, demain Stella va avoir deux bébés cromimis et j'ai des idées de prénoms, mais, je n'aime pas trop, pour que ceci reste dans mon univers : mes cromimis = Mimi Dila - Mimilo - Stella - Capucine ... J'avais penser à Pinky - Crakotte - Plume - Lucie - Adès, vous trouvez que c'est bien ?
Aidez - moi à chercher des prénoms, s'il vous plaît ... 

Sticalette et Sheily-Hiltone: Bonjour, vous faites du hors sujet.

Je ne sais pas si j'arrête mon histoire actuel et que j'en commence une autre ou alors j'en poste une en même temps ? Vous préféreriez quoi ?

Lolobauls: Merci!

La suite!!

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Chapitre 2
                                     Allemand et Sang

June mit les boules de papiers dans son sac et et fila a l'extérieur. Le soleil était là, tout comme la rosée frais du matin. Les gouttelettes d'eau mouillait ses baskets mais June marchait toujours, allant à l'école qui était à deux coins de rue de chez elle. Elle accéléra brusquement car elle venait de voir ses pires ennemies: Natasha et Amy. Elles arrivèrent dans sa direction et Amy l'aborda:- Alors Junny, tu portes encore un jean noir? Hahaha, sache que c'est dépasser depuis 2005, tout le monde sait cela! June répondit froidement: - Au moins, j'ai quelque chose dans la cervelle tandis que vous, que des graines! Natasha répliqua:- Pfff, parle pour toi même! Elles partirent ensemble bras au- dessus, bras en -dessous. June les ignora et fila vers l'école rejoindre Bianca, sa meilleure amie. Bianca avait les cheveux noirs et les yeux verts. June montra à Bianca les papiers et Bianca dit, surprise: -Mais... c'est de l'Allemand! June dit:- Tu es sûre? -Bien sûr, cela veut dire:... OH MY GOD!

Kikoo ^^!


Marif : Tes deux chapitres sont magnifiques !!
Franchement,j'adore!
J'attend avec impatience tes autres chapitre !!

Nenqueen : Il vaut mieux que tu abandonne ton histoire si tu n'as vraiment(vraiment!) ,plus d'idées.
Je suis d'accord avec Lolobauls, n'essaye pas de faire deux histoires en même temps!
Déjà nous on va être perdus mais toi....!


Lolobauls : Merci ^^ !
Mais t'es sûre que sa dérange personne ?

On a posté un message à la suite donc je donne mon avis : La suiite !!!

Dernière modification par fatou91 (Le 25-06-2013 à 19h14)

Coucou tout le monde !

Misscapu-cla>> De rien
Rebecca>> Avec quelques rimes, ça serait mieux, mais c'est bien et ça défend une belle cause ^^
Fatou>>  Comme toujours : super La suiite !! x) ( Tu as vu mon début de roman ? J'aimerais bien que tu le commentes, j'aurai l'avis d'une pro Je le reposte en bas ).
Marif>>  Ça a l'air très bien Oui, ça me paraissait bien de l'Allemand, je suis tentée d'aller voir sur Google traduction, mais je vais résister, je ne veux pas gâcher le suspense ^^'
Ninqueen>>  Je pense qu'il ne faut garder qu'une seule histoire, tu serais trop perdue ^^
Lolobauls>>  C'est troop bien, comme d'habitude La suiite !! x)

Je reposte mon début de roman ^^ :

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PROLOGUE

Des esprits. Partout ces ébauches de formes blanchâtres que l'on nomme esprits. Elles ne cessent de bouger, ondulant au fur et à mesure que mon rêve se dissipe - que dis-je mon rêve ! mon cauchemar.
Celui qui reviens sans cesse, chaque nuit de pleine lune. Celui qui me hante, dont je ne peux parler.
    Je me réveille, en sueur, dans ce lieu qui m'est désormais habituel mais non moins terrifiant.
La Chambre du sang.

CHAPITRE 1

Je me redresse, toute tremblante, essayant d'oublier ce dont j'ai rêvé. J'extirpe mes jambes du lit, marque une pause, puis soupire. Combien de temps cela durera-t-il ? Je veux que tout s'arrête, que les choses soient comme avant, que les Éternels cessent de nous combattre, nous, les Éphémères.
    Je balaye la pièce du regard. Comme à son habitude, des cadavres jonchent le sol, baignants dans une mare rougeâtre et poisseuse qui les auréolent. Me levant, je me dirige vers la porte, prend au passage mes vêtements, vieux bouts de cuir cousus les uns aux autres, zigzagant entre les corps et évitant de m'attarder sur leurs yeux vitreux qui semblaient me fixer.

                                                                ***********

Après m'être lavée avec les moyens du bord, c'est à dire une bassine remplie d'eau à peine tiède, et m'être habillée, je me rends à mon poste habituel, en haut de la tour Nord. M'approchant d'un créneau et posant ma main sur la surface dure et rugueuse de la pierre, je fixe l'horizon. Plissant les yeux, je ne vois pourtant que la poussière soulevée par les combats. «  Encore un jour sans fin, pensais-je. »
    Chaque jour, lorsque je me lève, je ne peux m'empêcher d'espérer voir un paysage calme et tranquille, et chaque jour, je ne vois que ces particules signifiant que l'enfer n'était toujours pas fini.    
        Je sens une main se poser sur mon épaule. Ou plutôt, je crois la sentir. Car je ne méprends pas, je sais bien que ce n'est que mon imagination. Qui pourrait bien se trouver ici, dans cet endroit dénué de vie ? Depuis la Fuite, il y a 2 ans, plus personne ne s'aventure dans ses lieux devenus hostiles et menaçants.
        Je chasse l'esprit imaginé d'un revers de main, et me reconcentre sur l'horizon. Il me faudra être plus attentive dorénavant. Et surtout, jamais, au grand jamais, se laisser distraire. Ma survie en dépend.
    Ma vision se trouble, puis une larme roule sur ma joue. La poussière, sûrement.

Dernière modification par t-miss (Le 25-06-2013 à 19h38)

Re-kikoo!

T-miss : Hey!
Merci pour tes compliments, mais je ne suis pas une pro voyons !!
En tout cas pas plus que vous ! ^^
Effectivement,je n'avais pas vu ton histoire...mais elle est géniale !!
C'est magnifique je trouve!
Tu as un talents, et cela il faut le conserver!! :3


Bon voila, j'ai tout dis !
J'attends d'autres textes et vous fais attendre le mien, bisous !! ^^

tu ma dit un jour de choisir entre ma vie et toi
je tes repondu ma vie et tu ma quitter sans s'avoir que ma vie c'est toi


j'adore ce poeme si tes comme moi va voir mon profil et celui de la-vie3
un amie

salut moi  j'adore aussi ce poeme

Antoine
Je la trouvais dans sa chambre. Coucher sur son lit elle regardait le plafond d’un regard vide. Pensée-t-elle ou somnolée-t-elle ? Je vins m’allonger au près d’elle. Nos regards se croisèrent. Ses yeux retrouvèrent le plafond et tout en le regardant, elle me demanda :
« - Qu’es ce qu’il y a ?
   -Rien… Je voulais juste te voir, te parler. »
Elle me fixa d’un air interrogateur. Ce fut à mon tour d’observer le haut de la pièce. Elle soupira et ferma les yeux. Sa tête vint se poser près de la mienne. Je sentais la légère brise chaude que produisait son souffle sur mon visage. Nous restâmes ainsi quelques minutes ? Quelques heures ? Le temps semblait s’arrêter quand je me trouvais avec elle. On ne se voyait que rarement et je savourer ces précieux moments.
Pauline
Dès le départ mes sentiments pour lui étaient flous. Plus les jours, plus les années passaient et plus notre amitié devenait de l’amour. Nous nous aimions mais aucun de nous deux n’osait l’avouer à l’autre. Nous étions si bien ensemble que nous ne voulions pas gâchés ces instants que nous partagions. Ces yeux noisette sa chevelure dense m’attirait à lui un peu plus chaque jour. Je refusais d’admettre que mes sentiments pour lui ne soient que de l’amour… Pourtant je savais que j’avais tort.
—
Après quelques minutes, il releva la tête et m’embrassa si délicatement que ses lèvres firent l’effet d’une plume sur les miennes.

Antoine
Le baiser est la plus sûre façon de se taire en disant tout.

commentaire?

Bonjour.

Comme la dernière fois, je n'avais mis qu'une chanson, parce que les poèmes & moi, ce n'est pas encore la grande amitié. Je fais des Haïkus, des Hommages, des Chansons & de Petites Phrases sur la vie, l'amour etc. Pour ceux/celles qui veulent en savoir un peu plus, Mp. J'ai écrit encore une nouvelle chanson et j'aimerais des avis svp :

Pressée de Vivre:

Couplet l:

Je suis pressée de vivre,
Pour plus vite en finir...
Souffrir,
Je ne veux plus.
Me battre,
Je devais me battre.
Je ne le ferais plus.
C'est fini.
Ma vie,
C'est un échec !

Refrain :

Je suis pressée de vivre,
Je veux terminer le livre.
Je veux en finir.
Je ne veux plus souffrir.
J'ai collectionné les échecs,
Autant cesser tous ces échecs.
Autant refermer le livre.
Autant dire Adieu.

Couplet ll :

Personne ne peut prendre possession de ma vie,
Mais lui,
Il a pris possession de mon cœur.
Il l'as détruit.
Si je pouvais brûler ce livre...
Si je pouvais transpercer ce livre...
Regarder mon sang couler...
Prouver que j'existe !
Prouver que j'ai mal !
Mes larmes ne cessent de couler...
Il ne le saura jamais.
Il ne le verras jamais.

Refrain :
Je suis pressée de vivre.
Je veux terminer le livre.
Je veux en finir;
Je ne veux plus souffrir.
J'ai collectionné les échecs,
Autant cesser tous ces échecs.
Autant refermer le livre,
Autant dire Adieu.

Couplet lll :

Aujourd'hui ma vie n'as plus de sens sans lui.
J'envie les couples, je ne regarde que lui.
Je change pour quelqu'un qui ne m'aimeras jamais.
Je change pour quelqu'un qui ne m'aimerais jamais !
Je veux en finir !
Je veux jeter ce livre !
Personne ne comprend...
S'il voyais mon sang,
Il y trouverais des épingles et des larmes...
Ma vie est un échec.
Stop les préjugés!
Le bonheur n'est pas donné a tout le monde !
Je ne veux plus être jugée.
Je ne veux que refermer le livre.
Ma vie est un livre.
Refermons le livre.
Pressée de vivre.
Pressée de refermer le livre.

Refrain :

Je suis pressée de vivre,
Je veux terminer le livre.
Je veux en finir.
Je ne veux plus souffrir.
J'ai collectionné les échecs,
Autant cesser tous ces échecs.
Autant refermer le livre.
Autant dire Adieu.

Ps : Pour ceux qui ont Twitter, suivez mon groupe : MissSwagx06. Suivez moi : xJustMarion & mon amie qui chante avec moi : MissNanieGx06

Donnez-moi des avis. ♥

Bisous les Crominettes. ♥

Waou !!!!!! Super ta chansons, elle est trop belle à lire !! mais c'est sur quelle aire ?

Salut les écrivains !! ;) Tournée quotidienne ♥ (elle a l'air chargé, là...O.O)
J'ai un peu la flemme de citer donc je mets que vos noms ^^' J'écris au fur et à mesure, donc il se peut que vous voyez 2 fois votre pseudo ♥


→  Choutess  : Trop beau ! *-* C'est vraiment bien écrit ! ♥ Mais j'ai vu quelques fautes que tu aurais pu éviter =P Sinon, extra !
→  T-miss  : Haha !! Oui, je pense aussi que c'est des fautes de frappe mais ne t'inquiète pas, comme je te l'ai dit, c'est vraiment minime comme nombre de fautes, surtout quand c'est fait à l'ordinateur, comme ça...o^o Je te conseille d'écrire avec Microsoft...à moins que tu ne le fasse déjà ? ♥
→ Mareva  : La suite ! =3 C'est vrai que c'est très court...♥
→ Rebecca260 : Très joli, beau message mais... c'est vrai que des rimes aurait été la bienvenue ! *-* =D
→  kendall-schnmidt : Comme l'a dit Lolobauls, c'est facile de mettre 2 fois le même mot ^-^' Je trouve aussi que c'est un peu court :)
→ Fatou91 : Hé, t'aurais pas oublier de commenter mon chapitre 3, par hasard ? *-* xD
Sinon,  ton histoire est toujours aussi plaisante à lire ! ♥ J'aime beaucoup ! Ça détend...
Sinon, je ne ferais aucune remarque sur les fautes, on oublie ;)
La suiiiiiite !!!! ♥
→ Marif881 : Nouvelle histoire ? Désolé, j'ai beaucoup de mal vu que vous avez tous changer d'avatar, je sais pas qui a écrit quoi x_x
Sinon c'est trop bien ! J'adore ! ♥ De l'allemand ? ;) J'ai hâte de connaître la suite ! ♥-♥
P.S. : Je ne ferais aussi aucune remarque sur les fautes =P
J'ai lu ton chapitre 2, et j'adore aussi ! ♥-♥ C'est un peu court...La suiiite !! =P
→ Lolobauls : Yeah !!! Enfin un nouveau chapitre !!! ♥-♥
► J'aime beaucoup cette suite ! Même si je ne comprends pas certaines choses...elle a emprisonné Jho' parce qu'il s'est enfui sans la remercier il y'a 8 ans ? O.O  C'est bizarre, non ? =)
• Sinon, pour le passage : "...vous étiez de bonnes personnes et que ce n'était absolument pas votre attention..." Je pense que c'est "intention" et non "attention" ^^'
• Et quand tu dis "On avait environ 10 ans." Qui "on" ? Je pense que tu t'es trompée de pronom :)
• "...savoir enfin votre comportement." Tu devrais changer "savoir" par "connaître" et rajouter "la raison". Ce qui donnerait : "connaître enfin la raison de votre comportement".C'est un peu plus clair ^-^
Enfin bref, continue ! ♥ En espérant que la suite m'éclaircisse un peu ! (on ne sait toujours pas comment est apparu ce trou xD)
→  Nenqueen : Je suis d'accord avec fatou91 et Lolobauls, ne fais pas deux histoires en même temps ! On va être perdues et toi aussi ! ^^'
→ Cromaniatittude  : Wahou ! Il est trop génial, ce poème ! *-* Un peu bizarre, mais génial x)))
→  Poplove7 : Très mimi mais j'ai pas directement compris qu'il y avait 2 personnes qui parlaient = Pense à utilise le BBCode et décris un peu plus ;) Sinon, c'est bien. ♥ Très belle citation à la fin.
→  Misscapu-cla : Désolé mais...j'ai rien compris O.O Je pense que tu aurais faire attention à mes remarques sur tes chapitres précédents car c'est encore pas assez décrit, y'a beaucoup de fautes, et l'histoire est très bizarre...ne serait-ce que pour l'enlèvement qui sort du réaliste.
Par contre, si tu as envie, tu peux m'envoyer un MP et je te donnerais des conseils pour t'améliorer ♥
→  Kaahyna : Très très belle chanson *-* ♥ 



Bon, bah...tchuss tout le monde ! Je n'ai pas encore écrit la suite de mon histoire, mais ça ne va pas tarder ♥ Je re-poste mes chapitres :)

Spoiler (Cliquez pour afficher)

                Nouveau tournant. Nouveau départ.
Pour une nouvelle vie.  

Prologue                                                                  


Oh, tiens ! Il pleut. Je ne m'en suis même pas aperçu jusqu’à maintenant. Je lève la tête, mais ma vision se brouille, à cause de la pluie, sûrement. Je ne vois plus rien. Tant pis. Au moins, je n'aurais pas à regarder la jeune fille qui s'en va d'une démarche incertaine, sans un regard en arrière, à quelques mètres de là.
Alors qu'elle vient de briser à jamais le cœur d'un homme.
Le mien.
Comment a-t-elle pu ? Pourquoi ? J'ai été, je suis, toujours gentil et attentionné avec elle ;"même un peu trop", me faisaient remarquer mes camarades de classe. Pas mes amis, mes camarades. Je n'ai pas d'amis. Ou plutôt, je ne pense pas en avoir. De vrais amis, je veux dire. Ceux qui sont toujours là pour toi, pas juste quand ils ont besoin de te demander un service ou parce que leurs amis à eux ne sont pas là. Des amis sur qui ont peut compter.
Je pensais en avoir un, d'ami. Elle. Mais je comprends aujourd'hui que notre relation était plus qu'inexistanste (en plus d'être ambiguë, je précise). Ou alors, éphémère.
Enfin bref. Oui, j'ai toujours été adorable avec elle. Elle a été adorable avec moi, aussi. C'est elle qui m'a accueillie à bras ouverts quand j'ai emménagé dans le quartier, avec ma mère, il y'a maintenant 5 ans. J'étais timide, je le suis toujours, et c'est elle qui m'a rassuré ; elle m'a même présenté à ses amis. Ils ont eu l'air de me trouver sympathique, mais je savais bien qu'ils ne voulaient pas faire mauvaise impression devant elle, alors ils se sont montrés cool. Mais après, ça a été la seule à discuter et à "traîner" avec moi.
Mon ventre se sert, un sourire crispé s'étend sur mes lèvres. Je me souviens de tant de choses. Qu'elle venait me masquer les yeux avec ses mains, et me dire de sa voix douce et amusée : Devine qui c'est. Que je me retournais, le sourire aux lèvres, la retrouvant tout sourires, les yeux étincelants, ses longs cheveux bruns ondulant autour d'elle.
Qu'elle me défendait devant les caïds, qu'elle leur disait : Ne vous en prenez pas à plus petit que vous, vous êtes lamentables. " Ils me lâchaient ensuite les baskets pendant 3 ou 4 jours (elle était très persuasive, quand on y pense, et surtout, très appréciée. Par tout le monde. Personne n'osait la contredire, vu qu'elle avait toujours raison. Mais peut être ais-je une trop bonne image d'elle, qui contraste terriblement à la réalité.)
Ma vision se brouille davantage.
Elle était la corde qui me permettait de tenir, grâce à laquelle je m'efforçais de ne pas abandonner.
Il pleut drôlement, dis donc.
Je devrais peut être rentré, ma mère doit s'inquiéter.
Mais bon, être en retard, inquiéter ma mère, ou autres choses futiles comme celle-ci ne m'importe plus, désormais.
Je dois d'abord recomposer ce qu'elle a détruit.
D'une démarche certaine, cette fois, je prends la direction de ma maison, tandis que la pluie s'estompe...à vue d’œil.
Elle laissera bientôt sa place au soleil. Comme ma vie. Qui prend aujourd'hui un nouveau tournant. Pour la troisième fois.
Un nouveau tournant. Un nouveau départ. Pour une nouvelle vie.
Ça ne sonne bien, dis donc.
Je pourrais presque en faire un livre.
FIN.




Chapitre 1

- Ah, mon chéri, tu es revenu ! Je commençais vraiment à m'inquiéter, hein ! Où étais-tu passé ?

J'enlève mes chaussures sur le palier, tandis que ma mère se dirige vers moi,  furieuse et inquiète. Les rides du souci et de la fatigue creusent son visage, le rendant de moins en moins avivé et coloré au fil des jours. Elle travaille beaucoup trop. Même si cela ne suffit même pas à joindre les deux bouts. Mais elle continue, elle s'acharne pour m'offrir tout ce dont j'ai besoin, depuis que mon père est parti, nous abandonnant elle et moi, déboussolés, anéantis. Je n'avais que 6 ans, mais je m'en souviens encore aujourd'hui.

Mon père était venu dans ma chambre, un soir d'hiver, le visage fatigué mais ferme. Les yeux ronds, je lui avais demandé ce qu'il faisait dans ma chambre, habillé, un sac sur les épaules et s'il pouvait bien m'expliquer pourquoi il y avait une grande valise, sa grande valise, devant la porte. Silencieux, il s'était assis près de moi, et soudain, pris dans ses bras. Puis il m'avait dit d'une voix empreinte de regret, avant que j'aie eu le temps de comprendre ce qui se passait :
- Sois fort. Ne perds pas courage. Pour ta mère et moi. Je sais que je peux compter sur toi. Je suis désolé.

Il s'était ensuite levé. Dans un silence de mort, la bouche béate, je l'avais regardé quitter la pièce, ne réalisant toujours pas ce qui se passait. Puis la vérité m'avait frappé de plein fouet :

Les murmures entre eux, les sanglots étouffés, tout ça…mon père quitte la maison.

Il ne viendra plus jamais me serrer dans ses bras, la nuit.

Je n'irais plus jamais avec lui à des matchs de foot, manger un sandwich...

Il ne sera plus là pour moi.

Cette vérité m'avait paru insupportable. Mais, avant que je puisse bouger le petit doigt (j'avais prévu de lui sauter dans les bras et de l'empêcher de partir, têtu que j'étais), il m'avait murmuré d'un son parfaitement inaudible, si bien que j'avais du tendre l'oreille pour l'entendre :
- Je m'en vais. Peut être que je reviendrais. Mais pas maintenant. Je dois réfléchir.
Sois sage, sois la pour ta mère quand elle en aura besoin.
"Je t'aime, mon fils."

J'avais hoché la tête même si il ne pouvait pas le voir, ne sachant pas quoi faire d'autre. Je me sentais comme vidé, incapable de bouger. Je n'arrivais même pas à pleurer.
Ma mère était apparue sur le seuil de la porte, le visage en larmes, juste après.

Ils ne se s'étaient pas accordé un regard. Aucun. Ma mère avait juste dit, la voix brisée : Vas-t-en.

Le visage baissé, mon père avait ensuite quitté la pièce.

Puis notre maison. La vie de ma mère. Ma vie.

Laissant nos cœurs à l'abandon, déchirés, marqués à tout jamais.

Cela fait 9 ans maintenant.   
Depuis ce jour, ma mère a perdu sa joie de vivre. Je perdis la mienne aussi, à la même occasion.
Quelques jours après, elle entreprit de trouver un boulot pour qu'on puisse s'en sortir sans lui. On l'engagea comme baby-sitter, serveuse, caissière, nourrice, animatrice… et enfin, femme de ménage.
Nous avions déménagé à Lolititle, 4 ans après ce jour tragique.
Et c'est là que je fis la rencontre d'Ever.
Grâce à elle, je pus honorer la promesse faite à mon père. Rester fort et avancer, pendant 5 ans.
Mais plus maintenant.
- Alors, qu'est-ce qui se passe, tu réponds pas ? questionne ma mère, ce qui me fait sortir de ma léthargie.
- Euh, si, si…je pensais juste à quelque chose, je réponds précipitamment.
- Alors ?
- J'étais avec Ever, tu sais, à la bibliothèque, j'explique, mais on s'est attardé sur un banc pour discuter.
- Ah ok, dit-elle, visiblement soulagée. Et tout se passe bien entre elle et toi, donc ?
Je veux lui répondre que non, tout va mal comme jamais, que je l'ai perdu. Pourtant, je réponds :
- Très bien. Ne t'inquiète pas pour ça.
- Ah ok, marmonne encore ma mère, en me fixant étrangement, ce qui me fait donc baisser la tête, pour ne laisser transparaître aucune émotion. Dépose ton sac dans ta chambre, et viens m'aider à préparer le dîner, s'il te plaît. Ensuite, tu feras tes devoirs. Il n'est que 19h, on a le temps.
-D'accord, maman, je réponds, en m'avançant lentement vers l'escalier qui me ramène à l'étage, où il y'a ma chambre, la salle de bains et la chambre de ma mère.
- Je t'attends, mon cœur. Je sens qu'on va passer une bonne soirée.
- J'espère, dis-je d'un ton faussement enjoué.
Puis je m'engage ensuite dans l'escalier, la tête encore envahie de souvenirs douloureux.
FIN

Chapitre 2

- Aie ! Ça fait mal !

Sans attendre, je passe mon doigt sous l'eau du robinet.

- Qui y'a-t-il, mon chéri ? hurle ma mère, à l'étage.
- Rien de mal. Je me suis juste coupé le doigt ! je hurle aussi, le visage crispé par la douleur.
Elle soupire si fort que je l'entends d'ici.
- Ah ok. Fais attention dorénavant.
- Pas de soucis. Argh…

Je ferme le robinet et me remet à couper les tomates par tranches, tout en essayant de contenir ma douleur. Ca fait vraiment mal, bon sang (ça sort bien avec la situation, vous ne trouvez pas ?). Je suce mon index, qui a enfin décidé de s'arrêter de couler.
Cela fait une demi-heure que je prépare le dîner avec ma mère. Je devrais normalement décompresser, car j'adore cela, mais je n'y arrive pas. Le souvenir du départ de mon père me démange, bien que je ne sache pas pourquoi. Et je n'arrête pas de penser à Ever, ce qui me fait terriblement souffrir.

Ma mère dévale les escaliers et me rejoint dans la cuisine, son sac à la main.
"Course urgente", m'a-t-elle expliqué.
- Tu es sûr que tu ne veux pas venir avec moi ?, elle me demande pour la trois millième fois.
Je soupire. Elle est têtue, ma mère !
- Non, maman, je grogne. Pour la trois millième fois, je te dis que je suis assez grand pour rester à la maison tout seul ! Tu n'as pas à t'inquiéter pour moi bien que tu le fais tout le temps.
Un jour, ma mère m'a dit que j'étais la seule à savoir la faire sourire. Je le confirme.
- Ok, t'as gagné…mais on pourrait passer au café manger une glace après le supermarché, si ça te dit ?
- Maman…, je souffle, avec un sourire franc, cette fois. T'es incorrigible…puisque que je te dis que je ne veux pas venir avec toi ! Je coupe des tomates, je te ferais remarquer !
Même si j'ai bientôt terminé. Mais hors de question de le lui dire !
- Une bônne glace, susurre-t-elle en exagérant sur les "n" et en ignorant ma remarque. Mmmmh…ça ne te tente pas ? Les légumes peuvent attendre, hein !

Ma mère est sadique.

Mais je tiens le coup. Plutôt mourir que lui faire faire des dépenses de plus. Avec le prix que coûte une simple glace…non !
Je ne réponds pas et continue à couper les tomates, en faisant en sorte de l'ignorer superbement.
Quelques minutes plus tard, voyant que je ne suis pas prêt de répondre à ses provocations (le mot n'est peut être pas très bien attribué mais c'est ce que je ressens) et à céder, ma mère se décide enfin à prendre les clés et à sortir. Elle ajoute au passage :
- Tant pis pour toi, alors. J'ai tout essayé ! Mais j'aurais peut être dû te menacer…la prochaine fois, t'es cuit !
Tsss…en soupirant intérieurement, je referme la porte derrière elle, le cœur un peu plus léger, toutefois.
J'ai l'impression qu'elle se reconstruit de jour en jour, ma mère, Dieu sait comment et pourquoi.
Elle veut peut être me montrer qu'elle aussi sait rester forte.
Je finis de couper les tomates, avant de les mettre dans un bol et de me laver les mains. Travail terminé.
Que faire maintenant ?
Je monte dans ma chambre, en essayant d'oublier Ever et mon père. Elle n'est pas très vaste. Mais, elle qui contient un lit à baldaquin, un bureau, une fenêtre, et une petite bibliothèque où j'y entrepose tous les livres que j'ai pu récoltés au fil des années, constitue mon univers secret. C'est le seul endroit où je me sens bien et réellement moi-même.
Cette pensée me ramène tout de suite à Ever.
Car cette chambre est, vous vous en doutez bien, l'endroit où Ever et moi aimions le plus se retrouver, avec la biblothèque.
Quand j'y repense, je me dis que notre amitié n'était pas du tout prévisible. Puisque, hormis le fait que nous aimons tous les deux la lecture, nous n'avions aucun point commun. Ne serait-ce que par sa façon de choisir ses amis. Ils sont tous très sûrs d'eux, prétentieux et moqueurs, alors qu'elle est douce, belle et gentille. Comment ça a pu coller ?
J'en suis là dans mes cogitations quand j'entends une sonnerie. Le téléphone. C'est peut être elle…ni-une ni-deux, je m'élance, dévale les escaliers et fonce vers le salon où celui-ci continue de sonner.Bip, bip, bip ! La main tremblante et avec une certaine appréhension, je décroche le combiné.
- Oui ?, dis-je la voix étranglée.
- Debby ? Brian ?   

C'est comme si le sol s'effondrait sous moi.
Je tombe, je tombe…

- Allô ? Allô ? Vous m'entendez ?
La voix est grave, forte, puissante. Elle n'a pas perdu de sa douceur, pourtant.

Je tombe, je tombe…

C'est elle que j'entendais tout les soirs. Elle me criait :  Brian ! Brian ! Sois fort ! Ne perds pas courage !

- Hé oooh ! Fichu téléphone ! Répondez, je sais que quelqu'un est là !

C'est elle que j'espérais réentendre un jour.

Des sanglots dans la voix, je murmure :

- Papa.


Chapitre 3

- Brian, oh mon fils... comme je suis content d'entendre ta voix !

Je me mets à vaciller sur le coup de l'émotion, ce qui m'oblige à me tenir au mur pour ne pas tomber.
- Papa...pourquoi nous as-tu abandonné ? Pourquoi ? Où es-tu ? Plus de nouvelles, rien pendant 9 ans ! Et là, tu débarques au téléphone en prétendant que je t'ai manqué ?! Alors que, je me répète, pendant 9 ans, tu n'as pas daigner me donner de tes nouvelles ?!? (ma voix prend des intonations plus fortes tandis que la colère et la tristesse qui s'est amplifié au fil des jours explose en moi. Dire que j'allais pleurer il y'a 2 secondes ! À cause de ce...enfin bref) 9 ans, Papa, 9 ans ! Tu comprends ce que ça peut signifier pour un fils, la présence d'un père pour l'épauler ? Puis, encore et toujours cette question, POURQUOI ?!?
Je laisse éclater ma haine, ma tristesse, ma colère.
Je l'entends respirer d'un souffle rauque. Il me prête une oreille attentive, je le sens, je le sais.
Je lui raconte les 9 ans passés sans lui, les problèmes, la détresse de ma mère.
Je lui parle d'Ever, de notre rupture.
De la promesse qu'il m'a faite.
Je lui fait comprendre que, malgré tout ce qui s'est sans doute passé entre ma mère et lui, il aurait dû endosser son rôle de père, même si beaucoup comme lui, malheureusement, n'ont pas eu le courage, la force ou l'envie.

Je noie mon chagrin dans les mots.

Et il me laisse finir, il ne m'interromps pas, ne me contredis pas. Ne serait-ce qu'une seule fois.

Il est juste là, à m'écouter, et cela suffit amplement à ce que j'aille mieux.

Quelques minutes, je suis essoufflé, je transpire, je n'ai presque plus de voix, mais j'ai un poids de moins sur mes épaules.

- Oh, mon garçon, je suis désolé...désolé pour tout ce que tu as enduré, me dit-il après que j'ai fini. Mais, tu sais, tu ne connais sûrement pas toute l'histoire, je n'ai pas voulu vous abandonner...ma mère ne t'a pas raconté, n'est-ce pas ? Pour mon départ ? Elle ne t'a rien dit, c'est sûr...hein ?
J'aimerais lui beugler que si, que ma mère m'a tout raconté, que je connais toute l'histoire, que ce n'est pas le problème, que j'en n'ai rien à cirer mais...ce serait mentir.
J'ai bien essayé de tirer les vers du nez à ma mère pendant toutes ces années mais bon...elle y tient, à ces vers, hein.
De toute façon, à chaque fois que je lui posais une question ayant un rapport avec ça, son visage prenait une couleur verdâtre qui me contorsionner le cœur et je m'empressais de laisser tomber pour ne pas qu'elle s'évanouisse devant moi.
Laissant (un peu) ma fierté de côté, je rétorque alors :
- Non, j'admets que je ne la connais pas l'histoire, mais si tu pouvais me l'abréger vite fait, ce serait vraiment gentil. J'ai pas que ça à faire, moi. Et j'ai pleins de questions à te poser, le Fugueur, tu sais ?
Bon, j'ai bien dit un peu.
"Hé oh, t'es fou ou quoi ? Manque de respect total ! Tu veux qu'il te raccroche au nez, c'est ça ?" me souffle une voix dans ma tête.
Non. Surtout pas. Donc, je m'empresse de rectifier le tir :
- En fait, tu sais, je te dis ça parce que...(je tousse) Maman va bientôt arriver, et comme j'ai pas envie d'assister à une crise cardiaque dont je serais le seul coupable, j'aimerais bien que tu y aille vite. Mais, en fait, tiens...elle en met du temps pour aller acheter du PQ et des courgettes !
Mon discours a, à ma plus grande joie, l'effet escompté. Il éclate d'un rire léger. Mais je remarque un petit soupçon de nervosité, toutefois.
Peut être qu'il s'inquiète pour Maman, va savoir.
On peut toujours rêver.
- Ok. Je vais essayer de faire vite. Tu m'écoutes et tu ne m'interromps pas, c'est compris ? 
- Oui, bien sûr, je réponds, agacé.
Il tousse. Trois fois.
- Je te le dit encore, Brian, je n'ai pas voulu vous abandonné. Enfin, je ne pense pas. Il s'avère que...

Et il me raconte. Tout.


Il laisse couler ses mots et moi, je les absorbe.


Si bien qu'à la fin, j'ai l'impression d'être un ballon plein d'eau, prêt à éclater.

-  Voilà, tu sais tout, dit-il après avoir fini. Ça fait du bien de se confier, dis donc ! J'espère que...euh...2 secondes !  (Je l'entends murmurer quelque chose. Il a dû éloigner le combiné car je ne comprends pas ce qu'il dit. Je discerne ensuite une voix haut perchée, très aiguë. Une femme ?) Et, euh, désolé, mais je dois te laisser, en fait. Affaire urgente.
Affaire urgente ? Il est sérieux ? Déconcerté par ce que je viens d'entendre, je sens la colère bouillonner en moi. Déjà que j'ai du mal à encaisser ce qu'il a dit plus tôt...
- Quoi ?! Tu vas raccrocher, comme ça ?! Et, en plus, pendant qu'on y est, t'appelles d'où, en fait ?
Moment de silence.
- Euh...de...de Hitetlea, il répond d'une voix penaude.
Je manque de faire tomber le combiné.
- De Hitetlea ?! Mais c'est à l'autre bout du pays !!! je hurle. Et je peux savoir pourquoi t'appelles, 9 ans après ? Pour nous dire bonjour ?!
Re-moment de silence.
- Euh...en réalité, c'est pas la première fois que j'appelle , il bafouille, pris de court.
- QUOI ?!? Mais c'est quoi, ce délire, là ? T'as déjà appelé ? Comment ça se fait ? je m'insurge, ayant soudain mal au crâne.
- Euh..et bien... (Il perd complètement ses mots...bien fait pour lui), c'est à dire que...ta mère et moi, on a commencé à s'appeler 3 ans après mon départ, histoire de se rabibocher. Mais, euh, on s'est un peu frités, ces derniers temps. Elle a sûrement préféré ne rien te dire. J'appelais pour prendre de ses nouvelles, malgré tout et manque de chance ! Je tombe sur toi.
Je ne comprends plus rien.
- Préférer ne rien me dire ? Frités ? Manque de chance ? Rabibocher ? Mais qu'est-ce que c'est que ces histoires ?
- Hé, oh, tu peux attendre 2 secondes, darling ? Je parle à mon fils, là !, hurle-t-il. Je mets quelques secondes à comprend qu'il parle non pas à moi, mais à la personne (féminine, je précise) à côté de lui. Je dois vraiment te laisser, Brian, dit-il ensuite en s'adressant à moi, comme si il ne s'était pas aperçu qu'il venait de me taper un vent monumentale.

Wahou ! C'est la première fois qu'on m'énerve autant ! Mais, qu'avais-je ouï ?  Darling  ?

- Hé, oh, ne me dis pas que tu n'as pas écouter un traître mot de ce que j'ai dit ?!  Et c'est qui, cette femme, à côté de toi ? Darling, tu l'as appelé ? Qu'est-ce qu'elle veut ?
Encore un moment de silence. Je l'entends parler à l'autre bout du fil et je comprends qu'il n'a encore rien écouté.
- Réponds, Papa, ***** ! je m'indigne, hors de moi.
- ...Brian, je suis désolé. Ne dis rien à ta mère, hein. Pour notre discussion, tout ça...je t'aime. Tchuss.
- Hein ? Quoi ? Attends ! 
Je beugle une injure grossière, mais trop tard ! Je n'entends plus qu'un long grésillement.
Zut !
J'appuie de toutes mes forces sur la touche "rouge" et je pose (le verbe n'est peut être pas attribué) violemment le téléphone sur son socle.
J'ai l'impression que ma tête va exploser et je me mets soudain à vaciller.
De l'air, il me faut de l'air.
Vite.
FIN

Dernière modification par xLalou (Le 26-06-2013 à 16h21)

Bonjour, voilà mon poème:

Lettre à Rose:

A toi, ma douce Rose.
Je t'écris ces quelques mots,
Pour te dire que dans mon cœur
Pèse le poids d'une émotion furibonde.

Ma plume écrit seule,
Mon cœur la guide.
Nos regards se croisent,
Mais je t'évite,
Mon cœur chavire,
Je m'enfuie
Mais mon cœur me crie
"Je l'aime !"

Ce n'est pas une simple amourette,
Je voudrais t'écrire ces mots,
Mais ma peur est de trop.
Cette lettre restera là,
Je ne te l'enverrai pas.
Je te veut dans mes bras,
Mais tu ne le sauras pas.

A toi, ma rose, je t'offre mon cœur...

Tipoisson49 a écrit :

Bonjour, voilà mon poème:

Lettre à Rose:

A toi, ma douce Rose.
Je t'écris ces quelques mots,
Pour te dire que dans mon cœur
Pèse le poids d'une émotion furibonde.

Ma plume écrit seule,
Mon cœur la guide.
Nos regards se croisent,
Mais je t'évite,
Mon cœur chavire,
Je m'enfuie
Mais mon cœur me crie
"Je l'aime !"

Ce n'est pas une simple amourette,
Je voudrais t'écrire ces mots,
Mais ma peur est de trop.
Cette lettre restera là,
Je ne te l'enverrai pas.
Je te veut dans mes bras,
Mais tu ne le sauras pas.

A toi, ma rose, je t'offre mon cœur...

Coucou tout le monde !

Fatou>>  Tu t'y connais quand même ^^ Mercii beaucoup, ça me fait vraiment plaisir
Cromaniattitude>>  C'est assez bizarre ce lutin x) Mais ton poème est très bien ^^
Poplove>>  C'est magnifique.... *.* Il y aura une suite ?
Misscapu-cla>>  C'est pas mal, mais il y n'y pas assez de descriptions. C'est le petit défaut
Kaahyna>>  Ta chanson est superbe
xLalou>>  Non, je n'utilise pas Microsoft ^^' Tu penses que ça pourrait m'aider ? ^^
Tipoisson>> C'est vraiment joli *Q*

Pour ma part, je suis plutôt occupée à stresser pour le brevet qui est demain ( jeudi ) et vendredi qu'à écrire la suite de mon roman ^^' ça sera pour plus tard, désolée ^^'

Bon jeu !