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Bon. Voilà, un jour une personne m'a dit: " Moi, je note toutes, toutes mes idées d'histoires. Qui sait, peut-être qu'un jour j'en finirait une! "

Alors je les garde toutes. J'en ai beaucoup !!

Papa Président

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Une bombe vient d'atterrir cet après-midi au Palais de l'Elysée. Il y a des manifestations. Des personnes politiques se font démarquer pour reprendre la place de président. L'un d'eux prononce un petit discours improvisé, pendant qu'un autre essaie de plaindre le président décédé par haut-parleur.
Dans la foule, certaines personnes sont au rendez-vous: la famille Timbuthree !
Il y a aussi une foule de policiers, non loin de là. Ils prirent Timbruthree par le bras et l'emmenèrent à l'Elysée. Arrivé dans un bureau, celui du 1er Ministre, un policier déclara:
"  Voudriez-vous être Président ?
- Ca rapporte beaucoup, négocia le prétendant ?
- Enormément. Alors ?
- Laissez-moi réfléchir. 24 heures.
- Bien. Au revoir; Monsieur Timbuthree. "
Une limousine se fraya un étroit chemin parmi la foule et ils partirent pour le 9, Rue Des Violettes.

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Chapiter 1: The first day
Ce 1er chapitre est en partie vrai. Il m'a fait flippé ainsi qu'à mes deux amies Solange et Célia, qui incarneront Sara et Camilla.
Je m'appelle Seira. Appelez-moi Shuguy Je ne sais pas pourquoi on me surnomme comme cela, demandez plutôt à mes trois amies Léonie l'intello, Sara la portugaise et Camilla la cascadeuse. Moi, on me dit la fofolle rigolote.

jeudi 17 Mai 2012 11h34
au Collège Les Gâtines

Alors voilà :
Nous sommes allées toutes quatre devant le réfectoire. On s'ennuyait tellement -car on mange deuxième le lundi et que les premiers à manger discutent avec les pions- que Camilla demanda à  Léonie de lui conter uns de ces livres qui font peur. Elle choisit un de son top 3 et nous en conta un passage:
<< Le beau soleil disparaissait dans les nombreux nuages qui se formaient, et, des tonnerres bleus -habituellement jaunes- touchèrent des adultes innocents qui les tuèrent. Seuls les enfants restèrent ici, en train de se faire torturer par des vagues psychologiques, des vagues vertes. Sûrement la terre et la verdure qui s'animaient... >>
Camilla n'en pu en entendre plus. Tant mieux car les surveillants faisaient passer les sixièmes.
Nous passions sans Clémence, ma Meilleure Amie. Hier, celle-ci avait oublié son cahier d'allemand et elle allait avoir un heure de colle. Je l'accompagnais à l'infirmerie où elle dit à l'infirmière:
<< Bon...bonjour... J'ai très mal à la tête et au ventre...
-Oh, oui. Tu as de la fièvre. Je vais te ramener chez toi. Vas attendre devant "la vie scolaire". >>
Elle voulut tellement faire vrai que; cinq minutes après elle avait mal à la tête.
Bon, toutes les quatre on mangea sans trop de péripéties. J'étais placée en face de Sara, à côté de Elisa et en diagonale droite de Camilla. C'est après que ça se gâta...
J'étais dos à la fenêtre et Cam et Sara me regardaient.
- Vous avez quoi à me regarder?!
- Si ça te gêne, regarde la pluie tomber! Fit Sara.

Elle regarda la pluie. Elle trouvait cela curieusement intéressant. Camilla, Léonie et moi s'apprêtâmes à partir, je fis de grands gestes de la main à Sara, qui se réveilla, comme dans les films, et nous partîmes ensemble.
Et là, un mini tourbillon tournait autour de mes pieds et me les chauffait. Il partit vers le terrain de football de la cour. On le suivit.
Soudainement, de la pluie des giboulées de mars tombaient -on était en mai- Et moi qui avais mis juste mon gilet rouge! Ben oui, ce matin il ne pleuvait pas.
Des paillettes rouges brillantes suivant un trajet très précis... Par les escaliers... Tiens, un rond point... les paillettes rouges qui suivent ce rond point comme des poissons rouges... Mince!  Gilet trempé! Vite, je l'enlève comme si ma mère me le demandait et je...
Mais oui : Mon parapluie!! Il va me servir à quelque chose! -j'emmène toujours mon parapluie quand il fait beau et mon manteau quand il fait chaud-

Je l'ouvris et me mit en dessous. Trente secondes après, Camilla et Sara y étaient aussi, trempées. Nous commençâmes notre paranormalisme :

<< -Gloups! Imaginez des inondations de paillettes! Dit Sara.
-Oups! Encore l'une de mes pensées qui  je n'espère pas va sûrement se révéler exacte! Coupa d'un coup Camilla.
-Dis-nous toujours, dis-je.
-Si je te dis que mon ancienne pensée s'est déjà réalisée?
-Je dirais "tant pis". De toutes façons, au point où on en est, je suis bonne à tout croire!! Dis-je.
-J'ai cru que des vagues de un mètre de haut allaient se former d'abord sur le terrain de foot, et après sur la partie basse de la cour de récréation! Avoua Cam.
-J'espère que ce que j'ai lu ne va pas arriver, car les arbres penchent et il n'y a pas de vent! Sanglota Léonie >>

Plof! Mon parapluie se cassa en deux -il n'y avait pas de vent!!- et laissa passer la pluie.

Même l'intello avait peur! La première fois de ma vie que je voyais ça. Mais c'est qu'elle a réussit à aussi me faire peur : les arbres basculaient vraiment et étaient près de la chute.
Voilà que la sonnerie retentit et laissa place à de l'incertitude. La professeure vînt nous chercher pour le cours de français au rez-de-chaussée salle 5. Je m'assis au premier rang -j'ai des lunettes- avec Léonie. L'intello, attentive, ne voulait pas trop s'enfoncer dans les histoires et avoir peur. Mais moi je voulais savoir!

Vendredi 18 Mai
Chez Seira pendant la nuit

Une hallucination? Ma mère qui n'aime pas le blanc, habillée et maquillée de blanc, bouvant du thé blanc, sur la table nappée de blanc; et qui part de la maison en courant vers la rue voisine?
Oh! Maman normale, qui revient en marchant jusqu'à moi.


Chez Sara pendant la nuit

Une hallucination? La dame blanche traversant mon grenier et quand j'entre elle... Disparait comme Gasper?


Chez Daria pendant la nuit

Un rêve? Une main blanche sur le piano blanc?


Chez Donna pendant la nuit

Un rêve? Un pied enrobé de robe blanche qui frappe avec son pied le rythme de "La lettre à Elise"?

Chapiter 2:
Donna est Dorine, une fille de 12 ans très timide d'après moi.
Daria est Emma, une grande fille de 12 ans de la taille de ma mère.

Lundi 21 Mai
Au collège à 9h20

Je trouvais que Clémence était bizarre ces derniers temps, mais aujourd'hui, c'était vraiment trop. Il fallait que je lui pose la question. Elle me répondit simplement par

<< Où est Léonie? Elle est stressante, c'te fille !! >>

Elle a répondu cela à Sara, Daria et Donna. Puis Donna raconta son rêve d'une manière si flippante que toutes trois nous tremblotâmes.

Puis nous allâmes en Anglais. Notre prof est ennuyant.
Clémence vînt réveiller la classe de son long sommeil. Elle avait eu un retard.


C'est très grave, un retard, selon elle-même.


Clémence est une fille soigneuse et à la mode. Mais à la fois fragile.

Moi? J'ai toujours été dans la classe des meilleurs sportifs de la classe. J'ai eu 19,5 sur 20 en rugby, la meilleure note de toute la classe!!!

Après les 2 heures de cours qui suivirent, la récréation. Clémence, comme à chaque absence voulut savoir ce qui c'était passé hier. Nous nous concertâmes, Sara, Cam et Moi.

<< Je propose de lui dire. >> Disait Léonie.

<< Je la connaît, elle na va pas la croire. Après elle va essayer de la transformer pour nous faire peur. >> Défendais-je.

Nous laissâmes la parole à Sara qui devait trancher

<< On lui dit. Allez, Shuguy, vas-y ! >>.

J'allais donc vers Clémence. Qui me dit de la lui raconter d'une voix terrifiante. Non. Je ne obéis pas. Si vous voulez un résumé de l'histoire, penchez-vous pour entendre.

- En fait... Euh... Jeudi... On a vu des paillettes rouges qui tournaient comme des poissons rouges autour d'un rond point, les arbres qui basculaient sans vent, des cailloux sans raisons et de la pluie à certains endroits...
- Mais t'as tout gâché! Ecoute: Je vis des paillettes couleur sang des arbres se déracinant, et de la pluie... Bizarroïde!! Alors? Tu comprends mieux pourquoi je veux faire théâtre?
- Ah, ouais. OK. >>

Mardi 22 Mai
Au collège, 10h15. Pendant la récré:

Camilla la cascadeuse revînt de l'infirmerie en trébuchant:

<< - A-alors Léonie n'est pas revenue? Je flippais parce que... Dans Denis Kout, ils sont toujours Quatre à commencer l'aventure et Deux meurent! On était 4: Léonie, Sara, Seira, et moi; on n'a pas de nouvelles de Léonie et de ses parents; et vos rêves! Avec cela, on pourrait écrire un roman!
- Mmmh... Tiens, c'est vrai, ça!
- T'as vu! C'est plus que bizarre et j'ai peur de notre suite!
- Ah, non, moi je parlais de l'histoire... >>

J'alla vers Daria. Elle me raconta son rêve... C'est vraiment curieux: nos rêves se rassemblent! Une dame en blanc qui joue du piano blanc et battant le rythme...

12h40, en attendant
de rentrer à la cantine

<< - Alors, voulez-vous que je vous raconte le tome 2, fit Léonie?
-Sans façons, s'empressa de dire Camilla !! >>
Le mardi, nous mangeons 3 èmes sur 4 èmes. Alors, nous allâmes sur "la colline".

L'herbe n'était pas mouillée. Curieux.

Clémence, tenant faire le l'histoire de notre aventure s'avança vers Camilla pour le lui dire.
Elle dit "attends" et fixa le ciel.

Il faisait beau.

Mais Cam ne fait jamais rien sans raisons : A la minute qui suivit, le temps se transforma. Nous sommes passées par la suite (et la pitié du surveillant) illico presto pour manger.

Rien de tel que... Une PIZZA !!!

Pour se remonter le moral. "Il pleuvait des cordes": J'adore cette expression.


Chapiter 3: castle and sea'
Histoire racontée du point de vue de Camilla.

Une fois le repas fini; Léonie, Sara, Daria, Donna, Seira, Clémence et Moi sommes sorties. Daria, Sara et Donna allèrent au CDI. Il ne restèrent que Léonie, Seira et Moi, qui incarne Camilla.

Cette histoire m'intrigue. Je suis bonne a croire vos bêtises, alors, appelez le 01 69 .... .... .... !! Défoulez-vous!! Non je rigole.

Bien. Nous sommes allées sur le terrain de foot en premier. Sous la pluie. Ah! Je viens de comprendre pourquoi les autres sont allées au CDI! Il y fait chaud.

Bon. Nous sommes sous la pluie, en train d'observer le bizarre. Des vagues de 1 m (en vapeur, mais des vagues) qui glissaient...

<< Houlà! Les filles, venez voir, je dis,
- Oui ?? Qu'elles dirent à l'unisson, synchros.
- J-je, j'hallucine ou je vois VRAIMENT une ombre d'un castle ?
- Euh, je ne suis pas trop, là... Un castle ?! Rétorqua Seira.
- Mais rrâ, là! Cam, tu aurais dû le dire d'un ton flippant! Fit Clent. >>

Nous la regardâmes d'un air de "On est pas tous comme toi!"

Remarque : On appelle Clémentine Clent.

Et là, la tête de Seira. Elle changeait du noir "s'en fout" à du vert "sérieux?!". On aurait dit qu'elle avait vu un fantôme!

<< - C'est... ça ne peut pas être une hallucination collective, si?
- Clent, tu ne la vois pas? Posais-je.
- Toujours et jamais... Dit "Mme Clent" >>

Seira et moi nous l'emmenons sur l'ombre du " castle " où elle avoua
<< Ah; bah oui là je vous crois. >>
Ce fut une première.

                         *

Les filles commençaient à m'inquiéter, et le cour de français se passa dans l'inquiétude.

                    *

Des paillettes rouges nous transportaient sur une plaque d'ombre... Je reçus comme un coup de marteau, sans doute me suis-je cognée avec Seira.
Je dus rêver!

                     *

Pendant la récré, nous étions trop préoccupées à résoudre cela, si bien que lorsque la sonnerie retentit, nous ne nous précipitâmes pas -d'habitude c'est Sara qui nous  préviens-. Quel dommage tout de même qu'elles ne soient pas là! 
                    *

Dernière modification par Cromaniatittude (Le 17-02-2013 à 15h50)

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